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                                  /!\ En Construction.. /!\

Prérequis :

      [Référentiel de SCI Volume 1].

      [La Conjecture du Hexel].

      [La Théorie des Nombres Premiers].

      [La Serre Incubatrice].

À Propos :

         Kilroy was Here.

Problème :
        - Comment mathématiquement définir le mouvement des hexels et obtenir une théorie des champs unifié ?

             La Conjecture des Hexels

                                          Introduction

        La mécanique quantique déclare que la matière est fait de particule et qu'ils interagisses en s'échangent d'autre particule. Un modèle dites «standard» divise les hypothétiques particules en deux groupe distinct : Les Fermions pour la matière, et les Bosons décrivent les intéractions. Le problème est qu'il est impossible d'ajouter de "graviton" sans fusionner l'information à d'autre bosons . Mais un problème bien plus grave est au centre de la mécanique quantique : le système d'origine de la mécanique quantique est incomplet, génèrent des hypothèses non conforme à la réalité.

               La meilleur solution de connaître l'infiniment petit est de regarder à l'oeil nu les plus petites particule de matière. Et c'est qu'ici qu'intervient la conjecture du hexel. Cette conjecture est la structure de l'univers, décrivent tout ce qui existe dans l'univers afin de permettre la déduction des équations des champs unifiés ; l'amat logique appelé «pierre philosophale».

               La relativité générale est, elle aussi, sans fondement. La gravité repose sur un espace-temps courbe sans la moindre preuve. Hors, tout est uniforme et constent, donc la relativité général, par sa propre distorsion de l'espace-temps, ne peut exister. La conjecture du hexel et la conjecture des hexels expliquent non seulement le fonctionnement de la gravité et de l'inertie, mais leur origine.

                La théorie des cordes possède un point prouvable : tout les particules sont composées du même objet. Mais ces cordes hypothétiques n'existe pas, rien ne permet de prouver leur existence, mais les hexels peut-être vu à l'oeil nu. La vibration des cordes n'est rien d'autre que le mouvement d'état des hexels pleins, qui étrangement, forme des mouvements qui ou bien tant dans une direction, ou bien créent des mouvements circulaires. Leur vibration et leur forme ne sont en fait rien d'autre que la conséquence de la géométrie du hexel, limitent les possibilités de mouvement.

 

                Une erreur très répandu est de croire qu'une particule se déplace comme une onde, puis ce matérialise à l'impact. La réalité, c'est qu'il faut penser comme la courbe en cloche ; la particule ne ce déplace pas en ligne droite, mais cherche a contourner les hexels plein ; les ondes n'existe pas en tant que matière ou particule. Nous pourrions prédire avec exactitude, par l'effet d'inertie, en tenant compte des particules à éviter, la trajectoire d'un électron.

               Dans la conjecture du hexel, il y a des particules temporelles qui permute par degré d'intensité pour devenir des particule répulsive. Ces particules ont des réactions lorsqu'elle entre en collision entre elle, pour former des bosons permettent l'une réactions suivantes :

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    - Les photons
    - Les gluons
    - Les bosons Z et W
    - Le
boson de Higgs composé de :

               - Gravité (Particule temporelle isolée)

               - Répulsion (Particule de répulsion isolée)

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  Chapitre 1 : Des erreurs corrigées pour la Théorie des Cordes

Voici une liste vulgarisé d'erreur structurelle de la théorie des cordes :
            Erreur #1 : Le dédoublement n'existe pas, et les spinneurs de la théorie des supercordes sont en fait des particules noires.
            Réponse : Une particule temporelle ou de répulsion ne se dédouble pas. Le choix de la direction dépend de sa position de départ et des particules temporelles et de répulsion environnantes. Les
PT et PR émettent une autre particule : la particule noire. Cette particule est détruite a l'impacte, mais agit comme une force de répulsion au contact d'une particule temporelle ou de répulsion. Les PT et PR ont la capacité de réagir comme les hexels plein au contact des particules noires. Cette particule est impossible à observer (seul les hexels pleins sont visible), mais son existence peut être déduite par le comportement des particules temporelle et de répulsion. La particule noire dispose d'une intensité égal à la PT lors de sa création (créé du point de vue de notre univers). Cette intensité permet aux PT et PR de se contourner, comme de former des Bosons.


          Erreur #2 : Le temps n'est pas une dimension.
          Réponse : Si tout semble être «image par image», c'est en raison de la forme géométrique du temps. Afin de comprendre plus facilement comment fonctionne le temps, nous allons unir les 3 dimensions en une seule et nous n'utiliserons qu'un seul hexel plein.
         Imaginez un ruban métallique dont la hauteur corresponds au trois dimensions d'espace. La longueur de ce ruban, c'est le temps quantique. Créez ensuite des bosses sur le ruban ; la première bosse à gauche correspond à un hexel plein ; les autres bosses représentes le déplacement du hexel plein dans le temps. Ces bosses sont créées par la pierre philosophale, ce qui permet une logique continue dans les mouvements. La pierre philosophale ne bouge pas, mais au fil des bosses crées, le ruban est déplacé par la pierre philosophale. Si vous placez une ligne imaginaire, parallèle à la hauteur du ruban, derrière la pierre philosophale, vous obtenez le présent. Le temps est un axe ; le temps est géométrie.

 

         Erreur #3 : Notre univers n'a pas de dimension invisible.
         
Réponse : Il existe bien des dimensions invisibles, mais elles ne sont pas exploitées dans notre univers. Pour que notre univers puisse exister, il faut obligatoirement qu'il provienne d'un univers qui à plus de nombres, plus de dimensions, et plus de possibilité d'interaction ; notre univers est une possibilité quantique de l'univers qui nous entour.

         Nous pourrions imaginez tout les nombres sous une forme géométrique : un ressort. Le premier anneau, c'est de -∞ à . Mais il existe plusieurs sorte d'infini ; c'est nombre forme le reste du ressort. Les nombres ne font pas parti du premier anneau sont les seuls nombres nécessaire pour définir notre univers.

                   Chapitre 2 : Le Paradoxe de la singularité

Question : Le chiffre 1 est-il au singulier?

              Pour tout nombre au-dessus de 1, nous déclarons la pluralité. Le problème est que la singularité n'est pas directement accessible à l'humain. Si par exemple je dis «Une planète», cette planète composé d'éléments ; 1 est donc un ensemble. nous pourrions dire «Une goutte d'eau», et continuer jusqu'à la particule noire. Mais cette particule noire est elle-même constituée de matière encore inconnue ; la singularité est invisible. Le chiffre 1, comme tout les nombres, sera toujours une définition d'un multiple d'une quantité supérieur à lui-même.

 

             Tout les nombres représente un ensemble. La question paradoxale est donc :

                        Existe-t-il nombre qui définit une singularité? Il semble exister un axe supplémentaire pour les nombres qui permettrait de calculer et comprendre la superphysique.

 

              Pour définir la singularité, il faudrait décrire une unité de singulari :

                                     t(2,3>> s
              t représente une unité temporelle du point de vue de notre univers. Si t va de à 3, alors la singularité s de l'autre univers aura une vitesse variable. Un effet étonnant ce produit à l'échelle quantique : Pour une même mesure, le temps peut autant reculer que avancer ; les particules de notre ne suivent pas avec exactitude la physique du mouvement appliqué par la pierre. Ces parasites cré
es un champ de possibilité en fonction de la valeur de t. Il faut donc pouvoir définir la singularité s par rapport à plusieurs mesures temporelles afin de définir une courbe. En mesurent les différences d'une même physique à l'échelle quantique, nous pouvons définir les «vents quantiques» de la singularité s.

             Le problème avec cette méthode, c'est que notre vision des lois de la superphysique est partielle, ce qui demande d'étudier ces vents quantique dans le temps afin de pouvoir déduire, parti par parti, la composition de l'univers qui nous entour et ses lois.

 

       Chapitre 3 : Un nouvel élément naturel en superphysique

             Rien ne bouge dans notre univers. La conclusion la plus logique est que la vie est constituée d'éléments voyagent sur le ruban de l'univers. La vie est donc constituée d'un élément de la superphysique : le souffle de la terre. Mais une question mathématique pourrait remettre en cause toute les religions, ou d'en confirmer une. Cette question est la suivante :
            Est-ce que le souffle de l'air est reproductible en n'exploitent que le souffle de terre?  Si oui, la Genèse de la Bible est fausse, car elle mentionne que la vie de l'homme lui a été insufflé, et donc, n'est pas constitué du même souffle que celui des animaux ; le
souffle de la terre, c'est à dire l'élément qui fait vivre les animaux et leur permet de voir l'univers ce défiler. Mais dans le cas d'impossibilité, cela voudrait dire que l'humain n'est pas apparu par les lois de la nature, mais a été placé depuis l'extérieur de l'univers. La logique étant la suivante :

           « La vie engendre la vie, les souffles peuvent se croiser afin que le souffle le plus léger soit reproduit, mais des souffles du même type ne pourra jamais engendrer de nouveau type de souffle. »

Malgré tout les résultats positifs, cette expérience a besoin d'être reproduire plusieurs fois encore avant d'être prouvé, car un doute raisonnable persiste.

Une expérience reproductible : Créer différent type de mouches

                Prérequis :
                     -
1 serre incubatrice
ayant servi depuis au moins 1 mois.

                     - du miel

                     - du vinaigre

                     - un contenant transparent pour brasser

              Mise en garde :

                      Le résultat de l'expérience abouti a un processus de décontamination, c'est-à-dire de transformation de tout végétaux et matière organique en composte et en terre.

              Expérience :
                   1 : Pour 80 ml de miel, ajouté 20 ml de vinaigre. Brasser jusqu'à obtenir un mélange uniforme, puis laisser reposer quelque minute. Recommencer le geste jusqu'à que la lumière passent au travers ne dévie plus au mouvement du liquide.

                  2 : Verser le contenant afin que les plantes s'y noie de la manière la plus lente que possible, et attendez quelque jour le temps de la formation des oeufs et des premières éclosions.

                  3 : À ce stade, la totalité des plantes doit encore être vivante, mais le feuillage peut avoir une apparence reluisante en raison du processus alchimique. Verser a nouveau la solution dans la serre incubatrice pour accélérer le processus. Si le dosage permet l'accélération de la formation des oeufs, alors les plantes commenceront a former de nouveau type de mouche.

                 Résultat : Si votre expérience a fonctionné comme prévu, vous devriez avoir vu dans un premier temps des mouches à fruit de former, puis, en fonction des plantes présenté, une mutation peut être observer. Par exemple, pour les oignons rouges, nous pouvons obtenir de minuscule mouches noires.

              L'apparition de la vie a été créé chimiquement. En exploitent le souffle de la terre du vinaigre, combiné a une alimentation recherché (le miel), la solution a été aspiré par les plantes pour créer les mutations avec l'eau dans leur feuillage et leur racine.

                       Chapitre 4 : La création d'invention à partir de l'alchimie de SCI.

          Cette conjecture confirme l'existence de l'alchimie de SCI. Grâce au fait que nous connaissons le fonctionnement de l'énergie au travers les hexels, il est maintenant possible de créer de nouvelles inventions révolutionnaires, tel que :

            - La serre incubatrice : Des plantes qui ne demande aucun entretien, l'évolution de cette machine peut pareillement ce passer de l'usage de terre, de la lumière du soleil, d'électricité, et d'entretien humain. La fonction première : obtenir des fruits et des légumes sans le moindre effort humain.

           - Les poubelles incubatrices : Technologie déjà existante, cet technologie demande quelque teste avant d'être commercialisé au niveau du recyclage du plastique et de la sorti d'urgence du surplus d'eau. Cet technologie utilise l'alchimie de SCI pour transformer les matières organiques et biologiques (p. ex.: viande à varié, fruit pourrit, sac de plastique).

          - Les mouvements perpétuels : Que sa soit de capturer l'électricité dans l'air, ou utiliser un mouvement thermostatique dans une incubatrice, les mouvements perpétuels ont pour fonction première d'apporter de l'électricité afin de faire fonctionner des machines qui n'utilise pas les principes. Par exemple, une serre incubatrice n'a pas besoin de mouvement perpétuel pour fournir un mouvement perpétuel. Toutefois, les inventions tel la corne d'abondance (invention au coût de construction raisonnable, fournissent des fruits, légumes, volailles, poissons, et électricité, en échange d'un faible entretien humain nécessaire pour la santé des animaux : quelque seconde par mois.) n'est pas totalement basé sur l'alchimie de SCI, et nécessite une aide électrique en guise de combustible pour fonctionner correctement. D'autre mouvement perpétuel, plus simple peuvent être fabriqué. Par exemple, l'utilisation du champ terrestre avec un système d'engrenage fonctionnant avec le même principe qu'une boussole. Toutefois, il est préférable, pour un résultat optimal, d'utiliser la transformation  alchimique sous incubatrice comme source d'alimentation d'un mouvement perpétuel : la transformation alchimique permet de générer plus d'électricité que par tout autre moyen, car 100% de l'énergie transcendante est exploité pour la transformation, qui à son tour, permet un mouvement d'ordre mécanique beaucoup plus puissant que les méthodes traditionnels de capture d'électricité.

Une méthode peu performante d'un mouvement perpétuel génèrent gratuitement de l'électricité peut-être reproduit à très faible coût grâce aux plantes. De nos jours, nous savons qu'une patate peut générer de l'électricité par une réaction d'oxydo-réduction. Mais si au lieu de bêtement sacrifier une patate pour un peu d'électricité, nous utilisons une serre incubatrice afin que les plantes, une fois qu'elles touche le haut de l'incubatrice enclanche la réaction, seul une partie de la plante meurt, et le cycle devient perpétuel!

         - La litière auto-nettoyant : Invention, nécessitant aucun entretien humain ni électricité, permettent de remonter et filtrer l'eau usé, tout en entretenant des plantes utiles aux rongeurs. À l'extérieur du fait d'être une cage à rongeur qui permet de nourrir et de nettoyer la litière sans intervention humaine, cette invention permet de créer certain ingrédient nécessaire à la conception des liquides destinés aux serres incubatrices hydroponique, ou encore dans la fabrication activateur de compost servant à accélérer le processus de transformation.

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