Ceux qui ont le privilège de savoir ont le devoir d'agir.
Ensemble, mettons un terme à la corruption et à la pauvreté.
Le Capitalisme à vol d'oiseau.
Avant propos :
Cet ouvrage ne vise personne, et a pour but de définir le capitalisme avec ironie et des louches de sarcasmes.
Manuscrit :
« Le capitalisme, c'est la cannibalisation des gouvernements. »
« Le capitalisme, c'est boire de la "sueur de poche de castor" en se disant que c'est de la vanille. Le capitalisme promet, mais l'inimaginable est donné ; celui qui sait n'en mange pas, sauf s'il est un sot. »
« Le capitalisme, c'est être admiré et récompensé lorsque l'on crée de la pauvreté. C'est comme si Juan Pedro Franco disait qu'il a une ceinture lourde. »
« Le capitalisme, c'est travailler, ou faire travailler. »
« Si nous voulons comprendre le fonctionnement du capitalisme, il nous suffit de jouer au Monopoly. Les honneurs reviennent aux plus riches, et le pauvre survie grâce à la prison. »
« Le capitalisme, c'est comme une police en carton : ça fait ralentir tout le monde, mais si nous continuons, nous voyons la supercherie du pouvoir. »
Conclusion :
« Il y a ceux qui moutonnent les autres, quoi qu'il arrive. Et il y a ceux qui chassent, peu importe ce qu'on leur dit.
« Le mouton profite de la salle à fist ; le lion tapit dans les hautes herbes observe le salafiste.
Celui qui déplace des montagnes emmerde le cartographe.