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Prérequis :

      [L'Économie Citoyenne].

      [L'Éducation Citoyenne].

 

Avant-Propos :
    Cinq faits sur l'humanité facilement évitables par la politique citoyenne :
          #1 : Les banquiers s'assurent que les citoyens restent endettés. Pour emprunter de l'argent, il faut créer une dette plus grande, afin que les riches deviennent plus riches, et les pauvres plus pauvres.
          #2 : Les pharmaciens s'assurent d'avoir des citoyens malades, car un patient guéri est un client de perdu. Les hôpitaux, surtout au Québec, possèdent une lenteur organisée pour faire de l'argent sur les malades. Les citoyens peuvent attendre des années pour un traitement de quelques minutes. Mais l'attente leur fait acheter des pilules de soulagement. La souffrance humaine a été capitalisée.
          #3 : Les médias s'assurent de l'ignorance des citoyens, du moment qu'on y met le prix. Ils sont généralement le bras droit d'un gouvernement, car ce sont eux qui dictent aux citoyens quoi penser et comment agir.
          #4 : Les citoyens se font la guerre pour des rois qui se serre la main. La guerre sert ceux qui la vendent, et le gouvernement qui la gagne.
          #5 : Le gouvernement s'assure que les points précédents soient légaux, car c'est bon pour les affaires ; ses affaires.

À Propos :
     Ce manuscrit affiche une structure politique universelle, établi par ordre de Priorité de Réaction. Si l'humanité entière adopterait un tel système, alors la guerre, le terrorisme et la pauvreté n'existeraient plus dans le monde.

     Un gouvernement doit être un administrateur. Il est là pour administrer ; pas pour s'enrichir. Alors c'est l'aspect commercial d'un gouvernement qui se doit disparaitre. Un monarque n'est pas là pour ce faire de l'argent, mais pour la faire valoir!
                                                                                                                      Kilroy was here.
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Problème :
   Existe-il un système gouvernementale
citoyennisme durable, tout en ayant l'assurance que la corruption gouvernementale est impossible à cacher?
Réponse Courte :
   Oui, il suffit de prioriser les droits et libertés du citoyen.

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                               La Politique Citoyenne


                                                 Chapitre 1 : La structure.
         Question #1 : Quelle est la forme de l'état et l'équilibre des pouvoirs d'une nation sous un régime de politique citoyenne?
         
Réponses : L'état est unitaire ; l'État est gouverné comme un pouvoir unique dans lequel les fonctions administratives ne peuvent exercer que les pouvoirs délégués. L'équilibre des pouvoirs suit un régime parlementaire monocaméral.

 

        Question #2 : Quel est le mode de nomination du chef de l'état?
 
       Réponses : La politique citoyenne est un régime présidentiel lié à un régime parlementaire, dans lequel les citoyens décident du moment de la réélection par contestation de légitimité, forçant le chef d'État à agir pour les intérêts de sa nation. L'élection du président est donc démocratique ; les citoyens votent pour le président, mais peuvent également prendre des décisions à la place du gouvernement dont même le président ne peut s'opposer (une démocratie directe par le billet du vote citoyen et de la contestation de légitimité).

 

          Le pouvoir est donc paradoxal. Nous avons un président qui a un pouvoir partagé, des conseillers élus qui ont le pouvoir de voter et de proposer (seule la priorité de parole avantage le président dans le Parlement.). Et en cas d'échec du président et des conseillers, les votes des citoyens fait loi. Le président exerce donc le pouvoir législatif dans l'unique condition où ses décisions sont en accord avec une forte majorité d'appui.

 
        Question #3 : Quel est le rôle d'un président élu?
      
 Réponses : Suivre son mandat pour lequel les citoyens ont voté, gérer la diplomatie, veiller à la santé commerciale de sa nation, fournir les services essentiels, et investir dans des avancés technologiques utiles à la population. La modification de lois sortant de son mandat, est autorisée, mais ce sont les citoyens qui, normalement, décident des lois à appliquer par le moyen d'une démocratie directe.

 
        Question #4 : Comme les citoyens peuvent voter sur tout, est-ce que le droit de manifestation existe toujours?
 
       Réponses : Oui, et ce droit est même renforcé. Lors d'une manifestation pacifique, les manifestants peuvent inviter les passants à signer pour obtenir un référendum.


                        Chapitre 2 : L'Économie.
        Question #1 : Quel est la priorité des dépenses d'un gouvernement?
        
Réponses : Les services essentiels, la recherche technologique, et la création de commerce citoyen.

 
       
 Question #2 : Qu'est-ce qu'un commerce citoyen, et quel en est l'utilité?
      
 Réponses : Ce type de commerce permet à ce que les gains soient répartis équitablement, sans qu'il y ai possibilité qu'une personne s'accapare de tous les bénéfices du commerce ; la santé du commerce est relative à ses activités. Tous les gains vont à l'entité commerciale. La répartition des gains, et le pourcentage de gain restant à l'entité, sont votés par l'ensemble des travailleurs. De même, le recrutement de nouveau personnel doit être voté.

 
        Question #3 : Quelles recherches doivent être effectuées, et dans quel but?
      
 Réponses : Le régime de politique citoyenne recherche en premier lieu l'inutilité du travail humain, afin de dépendre le moins possible du travail humain. Les recherches doivent donc être portées sur trois choses :
             - L'indépendance individuelle du Citoyen.
             - Baisser le coût de la vie.
             - L'intelligence Artificielle Domestique
(IAD) afin que des machines puissent produire à notre place.

 
      
 Question #4 : Le régime coupe le budget du gouvernement à beaucoup d'endroits, sans compter les pertes d'emploi dont l'indemnisation doit absolument dépasser le seuil de la pauvreté en plus d'un dédommagement industriel moral. Ici, nous ne parlons pas non plus des dépenses nécessaires à une telle évolution. Comment le gouvernement compte-t-il pouvoir payer tout ça?
      
 Réponses : L'Économie Citoyenne trouve sa source de revenu dans les taxes. La numérisation de l'argent permet d'ajuster les taxes en fonction du solde des comptes, de sorte que les pauvres payent moins de taxes (voir pas du tout), mais aussi, pour éviter aux commerçants d'avoir des paperasses inutiles à remplir. Les taxes seront donc plus élevées, mais en contrepartie, il n'y aurait plus d'impôt ou autre taxes (Exemple : les plaques d'auto, la taxe carbone, les quotas de ticket des policiers, etc...). Dit simplement, il n'y aurait qu'une seule taxe universelle. Les citoyens peuvent juger la compétence d'un gouvernement au % de cette taxe ; moins la taxe est élevée, plus une nation est avancée technologiquement et/ou politiquement, et plus son gouvernement est compétent. Un autre moyen de mesurer l'échec d'un gouvernement est de regarder le nombre de pauvres ; chaque personne vivant sous le seuil de la pauvreté est un échec durement payé par l'incompétence d'un gouvernement.

 

         Il est mathématiquement impossible d'être pauvre involontairement et de manquer d'un service ou de bien essentiels sous un régime citoyenniste. Il n'y a pas de service gouvernemental de rémunération pour ceux qui ne travaille pas ; à la place, une paye est donnée mensuellement aux plus pauvres, relatif à leur solde de compte, permettent à tous de pouvoir vivre, peu importe la raison de la pauvreté.

 
   Question #5 : La numérisation de l'argent ne risque-t-elle pas de violer la vie privée des citoyens?
 
 Réponses : Non, bien au contraire. Le régime de politique citoyenne a pour objectif le respect du citoyen. De plus, il est impossible de frauder le gouvernement. En ce sens, seul trois exceptions permettent à une entité de regarder l'historique des transactions des citoyens :
             - Le mandat ; des enquêteurs ont obtenu l'autorisation d'un juge pour regarder les transactions d'un compte en raison d'un doute raisonnable de croire que les déplacements d'argent sont dus à des activités criminelles.
             - La personne titulaire du compte accepte volontairement de partager ses informations, par un choix libre et éclairé.
             - La personne titulaire du compte est un haut fonctionnaire de l'État. Connaître les transactions d'un haut fonctionnaire, au point de pouvoir jusqu'à connaître le moment et le lieu où il achète une brique de lait, permet d'éliminer la corruption cachée.

 


             Chapitre 3 : Les droits et libertés.
        Question #1 : Comment un peuple peut-il avoir la liberté de devenir ce qu'il veut être collectivement?
 
      Réponse : Le vote citoyen. Ce droit de vote permet à un citoyen de contester une décision du gouvernement, ou d'ajouter/modifier/supprimer des lois. Pour ce faire, le citoyen doit réunir un minimum de signatures pour organiser un référendum. Un fonctionnaire vérifie les signatures par confirmation téléphonique. Le résultat d'un référendum ne peut être modifié par le gouvernement pendant une période minimale de 10 ans ; un référendum appliqué a autorité sur le gouvernement.

 
             Le vote n'est pas une obligation, mais fortement recommandé pour faire entendre votre voix et votre vision. Une nation devrait être à l'image de son peuple, et non d'un seul homme ou d'une élite dirigeante. Le gouvernement doit être là pour minimiser le besoin d'implication politique des citoyens, tous en leur permettant pleinement de s'y impliquer.

 
        Question #2 : Comment fonctionne la démocratie dans un régime politique citoyen?
        Réponse : Une élection a lieu lorsqu'au moins 30% de la population déclare demander une réélection. Lorsqu'un nouveau parti entre en fonction, par défaut tous les citoyens approuvent l'élection. Mais lorsqu'un citoyen souhaite une réélection (ou annuler une demande de réélection), il doit le déclarer en ligne, ou à un fonctionnaire dédié : c'est le droit de contestation de légitimité. Celui qui gouverne en tant que président est donc obligé de se mettre au service de tous les citoyens afin de rester en fonction.

 
        Lors du vote, nous ne votons plus pour des députés, mais uniquement pour le chef de parti à la présidence. Les députés sont élus par comté ; le parti qui a le plus de voix, gagne les élections et son chef de parti est élu président, mais les députés sont élus selon la majorité par comté. En cas d'égalité de voix dans un comté, ou pour la fonction de président, un nouveau vote aura lieu, excluant les candidats perdants.

 
        Dans ce système, il n'y a pas de parti d'opposition. L'opposition, c'est le peuple et le droit de vote collectif. Un référendum demande 50% +1 voix en faveur pour être appliqué.

 
        Une exception dans le Parlement doit être mentionnée. Les députés élus, le président élu, et les anciens présidents élus
(ceux qui n'ont pas été destitués par une contestation de légitimité) sont les seuls à pouvoir voter et parler pour les décisions d'un gouvernement. Aucune décision ne peut être prise sans un vote avec l'appui de la majorité des membres votant (les membres du parlement qui s'abstiennent ne comptent pas dans les résultats d'un vote.).

 

        En plus du droit de contestation de légitimité, une élection présidentielle à lieu entre les 3 à 5 ans, laissant la chance aux autres partis de proposer de nouvelles idées, mais aussi, que l'actuel président puisse présenter un nouveau programme électoral.

 
        Question #3 : Quel est la position du régime à propos de la théocratie?
        Réponse : La politique citoyenne est partiellement neutre à ce sujet. La religion ne doit pas être persécutée, mais ne doit pas être privilégiée non plus. Un pays doit posséder des lois laïques, sans privilège religieux, mais également, laissant la liberté au citoyen de pratiquer sa religion et d'aller à des lieux de rassemblement dédiés aux cultes. La religion et les croyances ne doivent pas être un pouvoir, mais une liberté dans le respect collectif.

 
        Question #4 : Quel est la position de la politique citoyenne concernant l'immigration pour l'obtention de nouveau citoyen?
        Réponse : Les immigrants ont exactement les mêmes droits que ceux qui sont nés dans la nation. Ils n'ont ni plus, ni moins. Un citoyen immigré, comme un citoyen nouveau-né, procure les mêmes avantages économiques pour un gouvernement, et le gouvernement possède les mêmes obligations morales devant les immigrants. Dans ce système, vous n'avez jamais trop de citoyens. Les citoyens ne sont pas que le moteur de l'économie, mais leurs nombres dictent le nombre d'argent créé et détruit. Si un gouvernement déclare une surpopulation dans sa nation, alors il déclare qu'il est trop incompétent pour diriger sa nation, et doit laisser sa place à un autre, car la vitesse de l'évolution technologique est inférieure à la croissance générée par les immigrants.

 
   Question #5 : Quel est la position de la politique citoyenne sur les droits de propriété?
   Réponse : L'article 6.1 du manifeste de l'économie citoyenne permet à un état de louer des parcelles de territoire, car il y a un enjeu économique : louer quelque chose pour un gouvernement revient à alimenter le transfère de main. Les territoires appartiennent à l'état, et peuvent être loués uniquement pendant une transition de système économique. Les terrains doivent être gratuits, mais l'état doit contrôler les droits de construction pour un profit collectif.

 
        Question #6 : Quel est la position de la politique citoyenne sur la peine de mort?
        Réponses : Le citoyen possède un droit fondamental : celui de la vie. Ce droit est au-dessus des lois, donc la loi ne peut retirer la vie d'un être humain comme jugement. Tout citoyen à le droit à la vie et la dignité qui l'accompagne.

 
        Question #7 : Quel est la position de la politique citoyenne sur l'éducation?
        Réponses : L'accès à la connaissance doit être gratuit. Des frais de matériel ou d'honoraire peut être exigés pendant une transition de système économique. L'éducation citoyenne permet de ne délaisser aucun élève de côté tout en permettant à chaque étudiant de compléter le minimum d'étude requis sans avoir de matière apprise qui lui serait inutile le reste de sa vie. Voir le manuscrit sur l'éducation citoyenne pour plus d'information.

 
        Question #8 : Est-ce qu'un gouvernement peut censurer des informations dans le but de cacher une partie de ses activités?
        Réponses : Oui, mais pour deux exceptions bien précise. Le gouvernement possède le droit de dissimuler toute information dont il juge dangereuse, si cette dernière tomberait entre les mains d'un autre pays. Le gouvernement peut pareillement censurer des informations personnelles reliées aux citoyens, dans le respect de leur vie privé.
       Par exemples :
                - Des positions militaires, le nombre de soldats, des postes militaires
                - La banque d'information présidentielle.

 
        Pour tout autre cas, la transparence des actions du gouvernement doit être totale afin d'éviter la possibilité de corruption.

 
        Question #9 : Qu'est-ce qu'une banque d'information présidentielle?
        Réponses : Un logiciel permettant de visualiser l'état d'un pays et de la diplomatie, afin d'aider le président élu à prendre des décisions plus éclairées. Seul le président élu peut accéder au logiciel. Des conseillers peuvent être invités par le président à regarder le logiciel afin d'obtenir plusieurs angles de vue.

 

                Chapitre 4 : Les devoirs de citoyen.
        Question #1 : Il y a-t-il des devoirs de citoyen?
        Réponse : Oui, le service militaire et le devoir d'expression.
       Le service militaire : Tout citoyen, en pleine santé et sans handicap physique, mental ou neuronale, et étant âgé de 21 à 30 ans, peut à tout moment se voir être enrôlé dans l'armée, lorsque le pays est en état de guerre. Il existe quelques exceptions à ce devoir. Tout médecin ayant fait le serment d'Hippocrate est exempté du devoir du service militaire ; pareillement pour les hauts fonctionnaires de l'état, les enseignants et les professeurs de matière enseignée par l'éducation citoyenne. Le serment d'Hippocrate voit en contre-parti le début modifier. Le médecin ne doit plus promettre et jurer d'être fidèle, mais de promettre sur son droit de citoyenneté, s'exposant à l'exil, afin d'assurer la droiture de ses actions envers les patients.

 

            Sous un régime politique citoyenne, en cas de guerre, le peuple s'accorde à défendre leur patrie, afin de protéger leurs droits et libertés. C'est donc une mesure exceptionnelle n'est applicable que dans cette situation. À noter que si tout les pays du monde adopteraient la politique citoyenne, la guerre n'existerais plus, et l'armée prendrait le rôle d'une élite au service de sa nation exploitée pour l'aide humanitaire.
               Le devoir d'expression : Lorsqu'un citoyen s'inscrit dans la liste des citoyens aux votes actifs, il a le devoir de voter. Par défaut, les citoyens inscrits dans cette liste approuvent le parti actuel au pouvoir, il revient donc au citoyen de changer son vote en fonction de ses convictions personnelles. La contestation de légitimité et le vote citoyen sont des droits permettant à un citoyen de s'exprimer en participant à l'administration de population pour le bien collectif, sans être pénalisé. Le devoir d'expression n'est pas une obligation, mais fortement recommandé.

               Le vote d'opposition : Sous un régime citoyenniste, il existe une entité qui peut contester les décisions de la collectivité : l'opposition publique. Lorsqu'un gouvernement est en désaccord avec une décision des citoyens, il peut s'opposer. Dans de tels cas, une opposition publique sera formée. Cette opposition est constituée d'un président d'assemblée choisi par le gouvernement, et d'un jury composé de tout citoyen volontaire, sans conflit d'intérêts, ayant voté en faveur du référendum.

 
            Le président d'assemblée a pour seule et unique fonction d'orienter le débat, afin que le jury et le gouvernement puissent exprimer leur point de vue. Ensuite, le président fait voter le jury, et le référendum l'emporte s'il obtient la 50% plus une voie.


              Chapitre 5 : La justice citoyenne.
        Question #1 : Il y a-t-il des principes fondamentaux sur la juridique?
        Réponse : Oui. Tout citoyen doit être traité de la même manière. Les systèmes laxistes contre de l'argent ne correspondent pas à l'idéologie la valeur du citoyen priorisé ; aucuns frais ne doivent être exigés pour faire valoir nos droits et libertés.

 
        Question #2 : Quel seront les rapports entre l'argent et le travail accompli des forces de l'ordre?
        Réponse : Les postes de police reçoivent un montant d'argent en fonction du nombre d'habitants sous leurs responsabilités. Le nombre de policiers et autres employés du bâtiment est décidé par le shérif qui est élu par le peuple. Il n'y a pas de bonus ou de quota. De rares exceptions pour les bonus peuvent être autorisées (Par exemple : l'arrestation de criminel recherché).

 
        Question #3 : Comment fonctionnera l'échange de devise avec les pays qui ne sont pas sur l'économie citoyenne?
        Réponse : Le nombre total d'argent d'une même devise détermine sa valeur par rapport au nombre de citoyens d'un pays citoyenniste (nombre d'argent / nombre de citoyens = valeur de l'argent). Une règle de trois doit être appliquée pour le taux de conversion des devises. Cependant, cela n'est possible qu'entre les pays étant aussi citoyenniste, car seul l'économie citoyenne garanti une stabilité de la valeur monétaire. Afin d'éviter un système de forex, tout les comptes n'appartenant pas à un citoyen doivent s'ajuster avec le nombre de citoyens, en recevant tel un citoyen, et retiré comme le gouvernement.

 

           Chapitre 6 : Le Consulat International.

 
        Question #1 : Comment éviter la guerre entre les pays citoyennistes?
        Réponse : Par un traité de grâce entre tout les pays et région citoyenniste, afin de délimité le pouvoir et d'y placer un arbitrage entre les nations : Le Consulat International.

 
        Question #2 : Qu'est-ce que le Consulat International?
        Réponse : Au-dessus des gouvernements se trouve un Parlement qui réunit tous les pays : le Consulat International. Chaque leader mondial en est membre, et un Premier Consul préside les rassemblements. Lorsqu'un conflit survient (par exemple, une catastrophe dans un pays ou un mouvement ne correspondant pas à la majorité), le Premier Consul a pour responsabilité initiale de poser des questions pour clarifier la situation pour tous les membres. Ensuite, chaque membre du consulat peut proposer des solutions avant de passer au vote. Les décisions du consulat prévalent sur toutes les administrations nationales. Les décisions doivent être prises pour l'une des raisons suivantes :
                  
1 : L'équilibre et la justice économique mondiale.
                  
2 : La propagation du citoyennisme.
                  
3 : L'aide humanitaire durable au démunis.
                  
4 : L'adhésion de nouveaux États au traité de grâce citoyenniste.
                  
5 : La paix et la sécurité mondiales.
                  
6 : Le traitement humain des populations.
         Sous un régime consulaire, les pays ne sont plus des nations, mais des régions. Si tous les pays adoptent le citoyennisme sous l'égide du consulat, il n'y aura plus d'armée nationale, car il n'y aura plus de guerre possible. Cependant, les pays possèdent une armée humanitaire commune, capable d'intervenir contre des groupes terroristes potentiels ou d'assister les populations en cas de catastrophe. Elle est sous la responsabilité du consulat et répartie à travers le monde pour des interventions rapides. Cette armée humanitaire ne peut pas attaquer une région mais uniquement la protéger et venir en aide aux démunis. Le consulat peut accorder des droits spécifiques aux régions pour utiliser l'armée humanitaire sans passer par un vote, dans des cas bien précis
(par exemple, un tremblement de terre nécessitant une aide médicale, alimentaire, et de logement).

 

NOTE : Ce manuscrit n'est pas complet, mais offre les éléments principaux de la politique citoyenne.

 

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