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Question :

           Existe-t-il une roue d'alchimie permettant à une ou plusieurs plantes de vivre indéfiniment dans un espace restreins?

Réponse :
         Oui, cette roue est déjà connue, et porte le nom de photosynthèse. Mais elle est mal exploitée.


   Si nous prenons un espace hermétique, pour reproduire la roue de photosynthèse, il nous suffirait d'avoir de la terre, de l'eau et du soleil ou une lumière à large spectre. À l'intérieur de cet espace, les plantes pousseront grâce à la transformation de la matière sans production de déchets.


        D'une plante à l'autre, elles n'ont pas les mêmes besoins nutritionnels pour la transformation. Et la consommation d'un même sol (à l'exception des regroupements de soeur) provoque la mort des feuilles, ce qui permet de compenser le manque de nutriments dans le sol. Il existe deux solutions au problème :
       1 : L'adaptation.
           Vous pouvez sacrifier une partie des récoltes, mais les plantes les plus résistantes finiront par s'adapter.
       2 : L'exploitation de soeur.
           Dans un champs, les agriculteurs doivent effectuer une rotation des champs. Mais cette pratique peut être remplacée en faisant pousser plusieurs espèces de plante dans le même sol. L'ensemble des plantes doit être soeur (ex : maïs, haricot, courge). Pour une serre incubatrice, il n'y a pas besoin de mettre la terre en repos. Et même si les plantes ne sont pas équilibrées, cela ne change rien au résultat.

     La serre incubatrice, une machine peu coûteuse à fabriquer et facile à reproduire, permet aux plantes de pousser sans entretien afin d'obtenir des récoltes sans le moindre effort.

 

Voici un prototype d'une serre incubatrice :

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Sur cette photo, une expérience a été menée. Sur l'étage du dessus, ce sont des légumes plantés dans de la terre ordinaire. Mais sur l'étage du bas, la terre a précédemment compostée des légumes ionisés. Le résultat : les légumes plantés sont mourrant.

Pour expliquer le fonctionnement, la machine est divisée en six parties :

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#1 : Le Frame.
       Le frame sert à maintenir une dimension tout en permettant d'empiler les incubatrices. Quelque vis sont collées avec du ruban adhésif afin d'y placer le réflecteur.
#2 : La toile.
       Pour ce prototype, un sac pour canette vide à été utilisé pour hermétiser la machine. Le sac doit laisser passer la lumière. L'étagère, étant démontable, le sac peut contenir deux petites serres incubatrices.
#3 : La bande indicatrice.
       Cette bande jaune du bas sert à connaître le niveau de terre à maintenir. Au fil des récoltes, le niveau de terre baisse, et cette bande indicatrice donne un indice sur le moment de remettre de la terre.
#4 : Les portes hermétiques.
       Les portes sont hermétisées avec des aimants. Des aimants supplémentaires permettent à la porte de rester ouverte.
#5 : Le réflecteur.
       Les feuilles d'aluminiums renforcies avec des petits bâtons sert à refléter la lumière du soleil. Le réflecteur peut être remplacé par une lumière à large spectre. D'autres réflecteurs sont ajoutés au plafond de chaque serre.
       Le réflecteur sur la photo est fait à partir d'un support à CD, auquel des vis ont été placées entre les chambre à air et les serres, permettant de placer le réflecteur sur la face souhaitée.

 

 

Le sixième élément permet d'éviter les moisissures : les vers de terre.

#6 : La pierre.
       L'incubatrice sur la photo produit aussi des vers de terre pour leur exploitations, mais ils sont optionnels pour le fonctionnement de la machine. La pierre permet une reproduction plus rapide entre les vers.

 

       Les incubatrices ont besoin de gravier et de petites pierres afin de répartir correctement l'humidité. Pour une grande partie des plantes, l'humidité dans l'air ralenti considérablement leur croissance ; pour d'autre la croissance est au contraire, grandement accélérer. Il est grandement conseiller de mettre du gravier dans le fond de l'incubatrice, et des petits cailloux par dessus la terre.

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Une variante pour le maïs :
#1 : Les tubes.
       Le maïs, étant généralement trop grand pour une maison, pousse au travers les tubes, permettant de les faire pousser dans de petites serres incubatrices. Les tubes sont percés sur les tours afin d'aérer la plante.
#2 : La cône inférieur.
       Le maïs ne doit pouvoir passer que par les spirales ; un cône est placé pour que toute plante qui pousse soit obligée de passer par les tubes.
#3 : Le cône supérieur.
       Tout déchet produit par la plante doit retomber sur la terre, le cône empêche ces déchets de se retrouver dans la chambre à air.

Conclusion

        Même les plantes de hautes tailles peuvent pousser dans un petit appartement. Il est donc possible d'offrir l'indépendance alimentaire pour les fruits et les légumes, et de baisser le coût de la vie.

         Une variante de l'invention, l'incubatrice poubelle, permet par l'usage de vers de terre et de cloportes, afin de transformer les déchets en composte et en terre. Pour les déchets non compostables, une autre variante industriel existe, en y ajoutent des coléoptères noir (Zophobas morio).

         Le mouvement perpétuel mécanique afin de générer de l'énergie est possible à réaliser. Ce qui permet la perpétualité d'un mouvement, ce n'est pas l'absence de friction ou de gravité, mais la présence de changement de température. Par exemple, des matériaux thermostatique dans un espace hermétique peuvent rediriger la chaleur, générant dans un espace un coté chaud, et un coté froid. Si nous intégrons par exemple un oiseau buveur dans cet espace, son mouvement sera infini.

         Le moyen simple pour représenter un mouvement perpétuel est d'utiliser un verre d'eau avec un oiseau buveur, un pot rempli de terre, et un tube rempli d'air dont les extrémités sont connectées au centre de chaque pot. La différence de température engendrée forcera l'eau à rester plus froide que l'air, et le mouvement du oiseau buveur sera perpétuel tant qu'il y a de l'eau.

         Il n'existe donc pas une seule méthode pour construire sont propre mouvement perpétuel, mais une infinité. Nous devons simplement tenir en compte les possibilités physiques par rapport à l'effet recherché, ceci peut-être fait via la conjecture de résolution en losange.

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