




Ceux qui ont le privilège de savoir ont le devoir d'agir.
Ensemble, mettons un terme à la corruption et à la pauvreté.
/!\ En Construction.. /!\
Le Triangle Universelle & La Résolution en losange.
Pré-requis:
Les Principes de SCI:
- Théorie «Tout est un Arbre». (Optionnelle)
- Les lois universelles de SCI (Optionnelle)
Mathématique de SCI:
- Référentiel de SCI Volume 1.
- La Résolution Polynomiale (400 Étudiants, Optionnelle)
- La Résolution Polynomiale (Tricoloriage, Optionnelle)
Chapitre 1 : Le triangle universel.
[1.1] Introduction.
Le triangle universel est un regroupement de théorie, permettant de résoudre n’importe quel problème d’ordre logique ou mathématique. Ce regroupement est appelé "triangle", car il s’agit de trois regroupement de théorie qui s’exploite ensemble.
En donnant une vision globale de la résolution de tout les problèmes pouvant exister, la théorie « Tout est un arbre » explique la méthode générale comment un problème peut être résolut. La théorie « Tout est un arbre » est l’hypothèse qui est à l’origine de toutes mes découvertes, quel soient mathématique, philosophique, qu’elle traite de la chimie, de la physique, ou même de mes inventions.
La théorie « Tout est un arbre » indique de manière générale et simplifié le fonctionnement des mathématiques. L’ensemble théorique de la Résolution en Losange explique les détails de cette méthode. Et lorsqu’il y a des problèmes qui ne se résout pas directement avec ces 2 méthodes, nous y ajoutons le syllogisme à ces 2 théories (qui permet de déduire les réponses à un problème donné).
Ce concept visuel permet d’expliquer la présence de la Résolution en Losange, qui à son tour, explique la présence du syllogisme pour combler les manques.
[1.2] Le syllogisme & les axiomes.
Le syllogisme est un raisonnement déductif qui, ne supposant aucune proposition étrangère sous-entendue, lie des prémisses à une conclusion. Par exemple : Si tout A est B et si tout B est C, alors tout A est B.
Le syllogisme, lorsqu’appliqué dans un cadre mathématique, permet de déduire la résolution d’un problème par résolution polynomiale. Pour se faire, le syllogisme à besoin d’un petit coup de main : l’ensemble théorique de la Résolution en Losange. La Résolution en Losange dicte des méthodes de calcul et des règles à suivre, qui lorsque combiner ensemble, peuvent être utilisé par le syllogisme afin de déduire les solutions recherchées.
Note : Pour la philosophie, c’est le même principe : si une citation philosophique n’est pas valide dans un monde fantaisique, c’est-à-dire un monde avec des lois imaginaires (tel des créatures imaginaire ou des situations extrêmes) n’est pas valide, alors la citation n'est pas universelle. Il s’agit d’une manière simpliste et grossière d’exploiter la caractéristique universelle. En effet, grâce à la Résolution en Losange, afin de vérifier la validité d’une citation philosophique, nous pouvons dire « calculons! ».
L’utilisation des axiomes est permit lorsque toutes les variables du résultat font parti de l’énoncer, et du moment que les résultats respecte les Règles de SCI. Dans tout les autres cas, l’utilisation des axiomes mènera à une conclusion qui sera fausse, car même si tout les résultats de l’équation serait vrai, la résolution ne serait pas une géodésie logique, et elle ne permettrait pas un classement des résultats selon les variables de l’énoncé. Il est donc fortement conseillé, pour un résultat optimal, de ne pas faire confiance aux axiomes.
Par exemple, la confiance aux axiomes on mener à de faux résultat concernant les triplets pythagoriciens, ou encore le théorème des quatre couleurs. Pour les triplets pythagoriciens et d’autres formules, j’ai remarqué qu’il y avait des erreurs dans les enseignements à l’université, car les variables dans les équations n’était pas les variables de l’énoncer ; bien que tout les résultats étaient vrai, plusieurs résultats étaient manquant, ou rien ne pouvait être correctement classifié, donc de toute évidence : la résolution du problème n’était pas une géodésie logique. Avec la Résolution en Losange, vous pouvez être sur des résultats, et que rien n’est omit, car nous ne nous fions non pas sur les axiomes, mais sur l’énoncé même du problème.
[1.3] La théorie « tout est un arbre » : vision globale.

La philosophie de « Tout est un arbre » permet de visualiser le fonctionnement même des mathématiques, afin d’y voir un model de résolution universelle à tout problème existentiel, mais aussi de comprendre le fondement même du mode-opératoire de la résolution de n’importe quel problème ; une résolution exploitée par la Résolution en Losange.
L’arbre, c’est un problème posé, ou une question : un problème d’ordre logique ou mathématique. Le tronc de cet arbre est défini comme étant la solution au problème : la réponse recherchée.
Les feuilles représentent les éléments connus du problème (les variables, les valeurs, et autre nodes d’un énoncer), et les branches représentent les jonctions des éléments ; jonctions mathématiquement exploitables par la résolution en losange. Et comme il n’y a pas une infinité de possibilité de jonction, alors, même si nous ne connaitrions pas la méthode de résolution, il n’existe qu’un nombre relativement limité de possibilité : un nombre relatif au nombre de node dans l’énoncer. Donc, plus nous métrisons le triangle universel, plus le champ de possibilité est limité, jusqu’à conserver uniquement les géodésies logiques de la résolution d’un problème donné. À noter que le nombre de géodésie logique de la résolution d’un problème est relatif au nombre de Variable Primitive dans l’énoncer d’un problème.
Les racines de l’arbre représentent tous les autres problèmes et questions existentielles liés à la réponse (le tronc).
[1.4] Le lien entre la théorie « tout est un arbre » et la résolution en losange.
Si les feuilles représentent les éléments à tenir en compte lors d’un problème, et que les petites branches qui les relit vers des plus grosses branches sont des méthodes de combinaisons pour arriver au tronc, alors il faut un moyen de pouvoir définir ce qui est une feuille de l’arbre et ce qui ne l’ai pas, mais aussi, comment relié correctement ces branches entre-elles. Pour y parvenir, c’est là qu’intervient la Résolution en Losange.
L’ensemble théorique qu’est la Résolution en Losange est composé de trois ensembles théorique. La Fractalisation de SCI est composé du Calcul du Pole (qui sert à facilement définir les feuilles de l’arbre), et de la Fractalisation des Modules Primitifs, qui une fois réuni à l’ensemble théorique des Règles de SCI : nous obtenons les branches qui mène au tronc.
Cependant, le tronc de l’arbre n’aura pas nécessairement la grosseur recherché, dans le sens que la réponse, bien que vrai, peut manquer de simplification, ou inversément, à besoin par la suite d’être divisé pour solutionner de nouveau problème : c’est la qu’intervient le troisième ensemble théorique de la Résolution en Losange : la Défractalisation de SCI.
Pour un énoncé qui ne mentionne pas explicitement une limite de node ou de module à exploiter, il existera toujours une infinité de solution pour résoudre le problème. C’est pourquoi, nous ne pouvons pas nous fier aux axiomes pour dire qu’une solution est vrai ; même si nous avons les bonnes réponses, le chemin utilisé n’est pas nécessairement le plus court, ou encore que les variables utilisées ne sont pas nécessairement celle de l’énoncer.
[1.5] Lien entre la résolution en losange et les problèmes irrésolus.
La résolution du problème irrésolu le plus recherché au monde (P=NP), est le produit naturel de l’exploitation de la Résolution en Losange, et ce, peu importe la classe de problème. Elle a permit non seulement de résoudre ce problèmes tant recherché, mais également, tout les problèmes irrésolus restant.
Bien sûr, je n’ai pas résolu un par un chaque problème, mais j’ai simplement prit des problèmes irrésolus dans des domaines différent (théorie des nombres, géométrie, physique, chimie, programmation, mécanique quantique, astronomie, phylosophie, économie, politique, musique, etc.) pour les résoudre de la même manière (avec la résolution en losange), tout en privilégient les problèmes irrésolus les plus difficiles à trouver (y compris au niveau des erreurs enseignées) et utiles pour un gain de temps collectif, et en laissant les petits problèmes irrésolus restant à la communauté scientifique, qu’ils peuvent résoudre avec la Résolution en Losange (si seulement la corruption et les crédos de leurs sectes religieuses n’interviennent pas).
Chapitre 2 : La Résolution en Losange.
[2.1] Des difficultés dans la Résolution en losange.
La Résolution en Losange n’est pas un ensemble de formule qui est simple à exploiter : il faut de la pratique pour métriser cet ensemble théorique. Retenir le fonctionnement de la Résolution en Losange n’est que la première étape pour métriser cet ensemble de formule. La deuxième étape est d’apprendre à reconnaître rapidement les nodes d’un énoncé et les liens entre eux.
Bien que le Calcul du Pole explique comment faire pour reconnaître chaque node, le cerveau humain peu avoir du mal au début à reconnaître les liens entre les informations d’un énoncer, surtout que cette branche mathématique exploite des logiques qui sont contre-intuitif pour ceux qui ont l’habitude d’exploiter les méthodes présentement enseignés à l’université et dans les écoles (p.ex. : l’exploitation des axiomes pour prouver qu'une solution est une erreur).
[2.2] Exploitation du Référentiel de SCI dans la Résolution en losange.
La résolution en losange utilise le Référentiel de SCI. Si je n’utilise pas de référentiel classique, c’est parce que ces référentiels n’affichent pas naturellement les nodes qui forment les mathématiques de notre univers, sans oublier le fait que les référentiels classique sont inutilement compliqués (par exemple, avec seulement deux nodes composés, je peux former toute les fonctions mathématiques qui puisse exister ; il n’y a non plus 1001 symboles différent à retenir, mais seulement deux).
Le Référentiel de SCI est universelle et ordonné de la manière la plus simple que possible (de l’infiniment petit à l’infiniment grand), et en ce sens, rend obsolete tout autres référentiels mathématiques. Lorsque l’on souhaite afficher de petit calcul (géométrie, topologie, arithmétique, théorie des nombres, etc..), le volume 1 sur les nodes et les modules est parfait. Si vous préférez parler de la théorie des champs unifiés (comment le mouvement d’état des hexels fonctionne), le volume 2 sur les amats logiques est idéale. Pour la chimie, l’astronomie ou encore la physique, le volume 3 sur les combinaisons de transformations d’état des Hexels est de manière général le mieux adapter.
[2.3] La Résolution en losange contredit les croyances populaires sur le fonctionnement de l’univers.
Je crois que les fondements de l’arbre des mathématiques actuellement enseignés sont faux, et je le prouve sur ce site, en affichant des contre-exemples, résolvant de nombreux problèmes irrésolus, affichant des inventions qui contre-dise par leur simple existence des croyances erronées sur la physique ou encore la phytochimie, et bien plus encore. En d’autres mots : presque tout ce qui est enseigné à l’école sur les mathématiques et le fonctionnement de l’univers est faux, car nous ne pouvons pas toujours nous fier aux axiomes pour garantir qu’un résultat est vrai.
[2.4] Contenu abrégé de la résolution en losange.
La Résolution en Losange tire son nom de l’exploitation de son ensemble théorique, formant des « losanges logiques » de résolution de problèmes. La Fractalisation de SCI permet de définir de manière générale les Modules Primitifs d’une résolution polynomiale sous la forme d’une Formule de SCI. Combiné avec les Règles de SCI, cette Formule de SCI devient précise et optimisée, qui par un processus de défractalisation, nous pouvons obtenir une Équation de SCI. La Fractalisation d’Équation de SCI à son tour permet de passer de Formule de SCI Intriquée (Formule de SCI possédant au moins un module tertiaire intriqué) à une Formule de SCI, ou encore d’une Équation de SCI à une Équation Alternative.

L’ensemble théorique de la Résolution en Losange, qui regroupe les méthodes à appliquer pour résoudre un problème, est se qui forme les mathématiques de SCI. Bien sur, dans l’univers des mathématiques de SCI, il y a la mécanique de SCI fondée sur les amats logiques et l’alchimie de SCI sur les principes de transformation (transformation qui en réalité n’est que le déplacement d’état des Hexels), mais tout cela est fondé sur la Résolution en Losange. Les méthodes de cet ensemble théorique sont divisées en plusieurs ensembles théories :
Les Règles de SCI : Ces règles permettent de connaître les limitations logique de l’application des méthodes de calculs pour résoudre un problème en temps polynomiale. Pour toute résolution polynomiale, il faut respecter ses règles. L’ensemble des Règles de SCI est formé de 5 théories :
1: Les Principes des Mathématiques de SCI.
2: Les Règles de SCI sur les Modules Primitifs.
3: Les Règles de SCI sur les Modules Secondaires.
4: Les Règles de SCI sur les Variables Primitives.
5: Les Règles de SCI sur les Variables Secondaires.
6: Les Règles de SCI sur les Nodes Composés.
La Fractalisation de SCI : Méthode consistant à diviser un énoncer en plusieurs petit problèmes, afin qu’humainement, il soit plus facile à résoudre. La Fractalisation de SCI permet aussi d’effectuer des transformations mineurs, tel que définir la Formule de SCI d’une Équation de SCI.
Fractalisation des Modules Primitifs : Cette théorie permet de placer les nodes dans les modules primitifs, suivant les variables du Système d’Origine et l’énoncé du problème. La Fractalisation des Modules Primitifs est dépendante des Règles de SCI, et est formée de deux théories : Le Calcul du Pole, et la Fractalisation des Logiques.
Le Calcul du Pole : Cette théorie permet de définir l’ensemble des variables nécessaire pour la résolution d’un problème donné, incluant leur type et leur valeurs initiales, sans avoir besoin de résoudre l’énoncer.
La Fractalisation des logiques : La Fractalisation des logiques consiste à exploiter les Règles de SCI et le résultat du Calcul du Pole, afin de déduire le contenu des modules primitifs qui exploite l’information du Système d’Origine.
La résolution polynomiale (P=NP) : Considéré comme un saint-graal dans l’univers des mathématiques, la résolution en losange ne considère pas cette théorie comme étant une théorie à part entière : la résolution polynomiale est une conséquence naturelle de la Fractalisation de SCI, dans le contexte où l’objectif est de créer une Formule de SCI. La résolution polynomiale permet de résoudre n’importe quel problème en temps polynomiale (calculer sans avoir besoin de vérifier, et dont la vitesse de calcul est relative aux valeurs initiale des variables. En d’autre mot, nous pouvons dire aussi que si nous avons 30% du calcul effectué, nous aurons 30% de la réponse d’inscrite.). Il s’agit de l’un des problèmes du prix du millénaire, dont la solution est censurées depuis de nombreuses années.
Fractalisation de la mécanique de Calcul Résolu : Méthode de division des mécaniques de calcul d’un problème déjà résolu afin d’obtenir où bien des résolutions polynomiales séparées (permettant d’exploiter des parcelles d’un problème pour en résoudre un autre), ou bien d’exploiter le processus de Défractalisation pour l’obtention d’une Équation de SCI pouvant passer par une Formule de SCI aux *Équations de SCI Intriquée.
Équation de SCI Intriquée : Équation contenant ayant au moins un Module Quaternaire ayant un équivalent avec des nodes composés, et où la mesure et le calcul sont différent. Ces Modules Quaternaires porte aussi le nom de « Module Tertiaire Intriqué ».
Fractalisation de la Mécanique de Calcul Irrésolu : Méthode de division des nodes d’un problème irrésolu afin d’éviter d’avoir à calculer directement des Variables Primitives Simple (c’est-à-dire d’éviter de calculer l’entièreté du problème d’un coup pour le calculer "morceau par morceau" pour rendre sa résolution humainement plus facile à résoudre). Cette technique permet de facilité la résolution d’un problème complexe, et elle est aussi utilisée dans le cas de la défractalisation, lorsque l’on souhaite défractaliser étape par étape afin de facilité le calcul.
Fractalisation d’Équation de SCI : Méthode pour transformer une Équation de SCI en Équation Alternative ou en Formule de SCI. Cette technique possède une double utilité. La première est de comprendre les logiques derrière une Équation de SCI, et la seconde, à étudier comment effectuer l’inverse : la Défractalisation de SCI. Grâce à la Fractalisation d’Équation de SCI, il devient plus facile (dans la majorité des cas) d’effectuer un processus de défractalisation par la suite.
La Défractalisation de SCI : Méthode consistant à définir la géodésie logique de la résolution d’un problème, c’est-à-dire, de transformer une Formule de SCI en une Équation de SCI. Cette méthode est fondé sur Les tables de Défractalisation (ou Tables de SCI), qui sont un ensemble de type de suite logique cumulable affichant les exceptions au processus de défractalisation. Ces exceptions démontrent que le Calcul du Pole ne peut pas résoudre le problème par déduction logique lorsque nous tentons d’effectuer une défractalisation, en tenant compte uniquement de la Fractalisation de SCI et des Règles de SCI. Les Tables de SCI affichent les limitations de la Fractalisation de SCI, sans tout fois rendre la résolution d’un problème impossible par l’exploitation de la résolution en losange.
La conjecture de la défractalisation multiplicatrice : Cet hypothèse affirme que pour toute suite multiplicatrice ou empirique, il existe une Équation Alternative ou Équation de SCI équivalente. Bien que la résolution de plusieurs problèmes irrésolus (tel que le problème du cercle de Guass) semblent montrer que la conjecture est vrai (dans le cas où plusieurs type de suite des tables de SCI sont combinées), leur résolution ne démontre pas que la conjecture est vrai en toute circonstance. Pour être accepté par les communautés scientifiques, il faut que la suite multiplicatrice « n! » ou une suite empirique comme la suite de fibonacci soient défractalisés.
Défractalisaion d’addition : Ce processus de défratalisation permet de transformer toute Formule de SCI et Équation Alternative étant constituées de suite non multiplicatrique et non empirique en Équation de SCI. Nous entendons par suite multiplicatrice une suite de multiplication qui demande comme facteur multiplicateur une Variable Secondaire de Mémoire. Par exemple, pour « PR(L,i){M = (M*i*L) + 1} », i est une Variable Secondaire de Mémoire qui est utilisée comme facteur multiplicateur. Alors que pour « PR(L,i){ M = (M*L)+i} », la Variable Secondaire de Mémoire n’est pas utilisé comme facteur multiplicateur, et donc cette dernière peut être entièrement défractalisé par un processus de Défractalisation d’Addition.
[2.5] Résumé de la Fractalisation de SCI.
La Fractalisation d’un problème par Fractalisation de SCI peut être exploité de quatre façons :
1 : Diviser et exploiter les fractales d’un problème afin de le résoudre par résolution polynomiale. Cela permet d’isoler les différentes logiques à appliquer pour les différent modules primitif. Cette forme de Fractalisation de SCI s’appel la Fractalisation des Modules Primitifs, et passe par le Calcul du Pole et la Fractalisation des Logiques afin de résourdre un problème.
2 : Diviser un problème résolu afin d’isoler des modules de la résolution d’un problème pour en résoudre un ou plusieurs autres. Cette forme de Fractalisation de SCI s’appel la Fractalisation de la mécanique de Calcul Résolu.
3 : Diviser un problème irrésolu afin d’éviter d’avoir à calculer directement des Variables Primitives Complexes. Cette technique, appelé la Fractalisation de la mécanique de Calcul Irrésolu, permet de facilité la résolution de problème complexe.
4 : Transformer une Équation de SCI en Équation Alternative ou en Formule de SCI. Ce type de transformation s’appel la Fractalisation d’Équation de SCI. Dans une Équation de SCI, les Priorités de Réaction sont visible lorsqu’une variable est répétée plus d’une fois. Une autre technique consiste à comparer les résultats d’une équation afin de découvrir les Priorités de Réaction. Par exemple, dans « M += L*(L+1)/2 », la variable « L » est répétée deux fois, donc nous pouvons dire :
PR(L,i)
{ M += (( (i-1) +1)/2) * 2
// La multiplication par 2 est en raison qu’il y avait deux variables L qui était multiplier entre eux.
}
Après la simplification, nous obtenons :
PR(L,i)
{ M += i
}
[2.6] La Fractalisation de SCI : Fractalisation des Modules Primitifs ; le Calcul du Pole.
Pour le Système d’Origine, nous effectuons le Calcul du Pole afin de déduire le nombre de variable de chaque type, ainsi que leur valeur de départ. Un Système d’Origine pleinement définit permet une vision d’ensemble exploitable par la Fractalisation des Logiques. Voici comment déduire le Calcul du Pôle :
Définir les valeurs et variables de l’OL :
Dans un problème, il faut relever les limites hypothétiquement variables, et les placer par ordre décroissant, sans tenir en compte des limites qui sont entièrement relative et définit par d’autre limite. Ce nombre de limite détermine le nombre de Variable Secondaire de Limitation. L’ordre décroissant du placement de ces variables permet par la suite de pleinement exploiter les Règles de SCI pour résoudre le problème en passant par une géodésie logique de sa résolution.
Par exemple, pour le problème des 400 étudiants (P=NP), le nombre d’étudiant et de place peuvent varier. Nous pouvons donc dire que « L1 » est le nombre d’étudiant, et « L2 » le nombre de place. Si le nombre de place est placé après, c’est à cause que nous pouvons déduire que s’il y a plus de place que d’étudiant, alors il y aura toujours des places de libre, donc : le nombre de place ne peut être que égal ou inférieur au nombre d’étudiant, ce qui fait que « L1 » (le nombre d’étudiant) a un potentiel plus élevé que « L2 » (le nombre de place).
Définir les Variables Primitives Simple « Pn » de l’OP :
Le nombre de variable « P » correspond au nombre de mesure différente (et indépendante) à effectuer pour résoudre un problème. Le nombre de dimension d’itération de chaque variable « P » correspond au nombre différent d’élément à comparer dans la mesure. Et le nombre d’itération dépassant la valeur des Variables de Limitation est égal à la profondeur du calcul (nombre de couche) à mesurer, moins 1. Par exemple, pour le problème des 400 étudiants (P=NP) :
Le nombre de Variable Primitive Simple P : Il y a une seule variable, car nous n’avons que des étudiants par rapport incompatibilité à mesurer.
Le nombre d’itération de P : Les Étudiants doivent comparer leurs incompatibilités, mais aussi les incompatibilités des incompatibilités doivent être tenues en compte. Il y a donc deux dimensions d’itération.
Le nombre d’itération dépassent les valeurs des variables de Limitation : Les incompatibilités des incompatibilités sont calculées après avoir comparé les incompatibilités de l’étudiant. Il faut donc l’ajout d’une rangé pour les incompatibilités d’incompatibilités.
Dans cet exemple :
P[i,j] = Grille des incompatibilités.
P[i,i] = Nombre d’incompatibilité de l’étudiant (un étudiant ne peut pas être incompatible avec lui-même, donc cette position est naturellement recyclée).
P[i,(L1+1)] = Valeur des incompatibilités, correspondant au nombre d’incompatibilité de l’étudiant au carré.
Attention, les Variables Primitives Simples « Pn » n’ayant aucune dimension d’itération sont supprimées et sont représentées par une Variable Secondaire de Limitation pré-existante, mais compte comme si elle existait dans le Calcul du Pole. La raison de sont effacement (tout en faisant comme si elle existait dans le cadre de la Fractalisation des Modules Primitif) est lorsqu’il n’y a pas de dimension d’itération pour une Variable Primitive Simple, ça valeur par défaut est toujours exprimé par une Variable Secondaire de Limitation (ou une valeur isolée selon le cas) : nous économisons donc une variable, et la Variable Secondaire de Limitation qui est exploitée à sa place est utilisé à la fois comme Variable Primitive Simple, et à la fois comme Variable Secondaire de Limitation.
Définir les Variables R de l’OP:
Dans la résolution d’un problème, P représente la mesure à effectuer, et R représente le calcul. L’un des principes mathématiques dans les Règles de SCI déclare que pour résoudre un problème, il faut toujours appliquer la logique « Mesure Opérateur Calcul = Solution ».
Le nombre de variable « Rn » est égal au nombre de triage différent à mémoriser en même temps pour définir une réponse à la solution du calcul. Le nombre de dimension d’itération dépend entièrement du nombre d’éléments à tenir en compte en même temps pendant le triage. Et le nombre d’itération dépassant la valeur des Variables de Limitation correspond au nombre d’information différente à retenir en même temps en lien avec le parcours du calcul, moins 1.
Par Exemple, pour le problème des 400 étudiants (P=NP) :
Le nombre de variable « R » : bien que les incompatibilités des étudiants doivent être retenu avec l’état de calcul : il s’agit ici d’un seul triage. D’un coté nous mémorisons les valeurs des incompatibilités, et d’un autre, nous devons mémoriser à quel étape de calcul en lien (avec ces mêmes valeurs d’incompatibilité) nous sommes rendu à calculer pour chaque étudiant : c’est ces étapes de calcul qui est considéré comme un triage, car sans ces étapes de calcul, nous n’aurions pas besoin de Variable Primitive de Résolution pour résoudre le problème.
Le nombre de dimension d’itération de « R » : Pour la variable « P », nous avons vu qu’il y avait deux éléments à tenir en compte : les étudiants, et leurs incompatibilités. Donc nous savons que Rn ne peut pas excéder deux dimensions d’itérations, car « Rn » ne pourra jamais contenir plus de valeur que « Pn ». Mais pour avoir une valeur précise, regardons ce dont nous devons tenir en compte pour le calcul avec les informations de la Variable Primitive Simple « Pn » : nous devons tenir en compte la valeur des incompatibilités des étudiants, et les identifiants des étudiants eux-mêmes. Il y a donc deux dimensions d’itération pour la Variable Primitive de Résolution « R ».
Le nombre d’itération dépassant la valeur des Variables de Limitation : Nous devons mémoriser chaque identifiant des incompatibilités des étudiants mais aussi l’état de calcul (non mesuré, mesuré, incompatibilité en calcul, et incompatibilité calculé). Il a donc 2 informations à retenir, ce qui veut dire que le nombre d’itération dépassant la valeur de la Variable de Limitation est égale 1 : R[L,(L+1)].
Définir les Variables M de l’OP:
La/les Variable Primitive de Mémoire « Mn » correspond à la ou les réponses recherchées. Le nombre de Variable Primitive de Mémoire « M » correspond au nombre de solution différente (excluant les réponses itérées) attendu par la question. Le nombre de dimension d’itération est relatif à l’attente du nombre de réponse d’un même élément. Et le nombre d’itération dépassant la valeur des Variables de Limitation correspond au nombre de conclusions supplémentaires exigées par la question, et cette valeur est naturellement placé là ou la Variable de Limitation est la plus élevé. Exemple, s’il y a une condition supplémentaire pour « M[L1,L2] », où « L1=30 » et « L2=20 », alors nous plaçons cette condition supplémentaire à « M[(L1+1),L2]] ».
Prenons l’exemple du problème des 400 étudiants (P=NP) :
Le nombre de variable « M » : Nous cherchons à obtenir une seule solution : remplir un maximum de place. Il y a donc une seule variable « M ».
Le nombre de dimension d’itération de « M » : Ici, le nombre maximum d’élément de la réponse est égal à 1, car l’unique élément recherché, c’est de connaître quel étudiant aura sera assit sur chaque place.
Le nombre d’itération dépassant la valeur des Variables de Limitation : Si nous disons que nous voulons simplement placer les étudiants de sorte qu’un maximum de place soit prise, il n’y a pas de conditions supplémentaire exigées. Mais si nous cherchons à savoir si toute les places seront prise, il y a une condition supplémentaire, et donc, il faut une longueur de « (L2+1) » valeurs à emmagasiner, où les « L2 » premières valeurs sont les places pouvant être occupées, et la position « (L2+1) » représente la conclusion supplémentaire.
Définir le nombre total de variable dans l’OM:
Le nombre de variable maximum de l’OM se trouve en examinant les variables de l’OL et de l’OP. Pour rappel, les Variables Secondaires de Mémoire (les variables initialisées dans l’OM) sont les variables nécessaire pour la création de la Formule de SCI afin de résoudre le problème par résolution polynomiale. Voici maintenant les étapes du calcul :
1 : Nous commençons par ajouter le nombre de Variable de Limitation, moins 1.
2 : Ensuite, nous devons choisir la Variable Primitive de l’OP avec plus grand nombre de dimension d’itération, et y ajouter ce nombre. Si plusieurs Variables Primitives possèdent le même plus grand nombre de dimension d’itération, une seule variable est calculée.
3 : Nous calculons ensuite le nombre total de Variable Primitive Simple et Complexe (nous comptons uniquement les Variables Primitives Complexe qui remplace une Variable Primitive Simple), moins 1, puis nous comparons la valeur du résultat avec le nombre total de Variable Primitive de Mémoire moins 1, et n’ajoutons uniquement le total le plus élevé.
4 : Nous calculons maintenant le nombre de Variable de Résolution moins 1, et nous y ajoutons ce nombre.
5 : Pour terminer, nous prenons toutes les valeurs isolées (valeur sans variable) qui sont additionnées à au moins une Variable de Limitation, compris dans les Variables « Pn » et « Rn », et nous les ajoutons.
Le total de ces cinq étapes donne le nombre de variable secondaire de mémoire se trouvant dans l’OM. Si le total est inférieur à 0, alors la réponse est égal à 0.
Par exemple, pour le problème des 400 étudiants (P=NP) :
1 : Nous avons deux Variables de Limitation (400 étudiants, et 100 places). Donc : 2-1 = 1.
2 : P et R on tout les deux 2 dimensions d’itération. Donc, nous disons 2=2.
3 : Le nombre total de Variable Primitive Simple ou Complexe est égal à 1. Le nombre de Variable Primitive de Mémoire est égal à 1. Donc, nous pouvons déduire que 1=1, donc nous choisissons 1, et nous retirons 1 : « 1-1 = 0 ».
4 : Il y a une seule Variable Primitive de Résolution. Donc : 1-1 = 0.
5 : « P » et « R » ont chacun une valeur isolée qui est additionné à une Variable de Limitation. Donc, nous avons : 2 = 2.
6 : Additionnons maintenant les résultats des 5 étapes précédentes afin de définir l’OM : « 1+2+0+0+2 = 5 ». Donc : « OM(5); ».
Lorsque les Variables Primitives de Mémoire on plus de dimension d’itération (ou le même nombre de dimension d’itération avec plus d’itération) que les autres Variables Primitives, cela indique que vous exploitez inutilement des Priorités de Réaction afin de résoudre un problème, et que votre calcul n’est pas, dans tout les cas, une géodésie logique. En d’autre terme, les Variables Primitives de Mémoire peuvent posséder moins de dimension d’itération et/ou d’itération tout en emmagasinant les mêmes résultat.
[2.7] La Fractalisation de SCI : Fractalisation des Modules Primitif ; Fractalisation des Logiques.
La Fractalisation des logiques consiste à exploiter les Règles de SCI et le résultat du Calcul du Pole, afin de déduire le contenu des modules primitifs qui exploite l’information du Système d’Origine.
Déduction de la Suite Logique Parent SLP :
La Suite Logique Parent n’existe que dans les cas suivants :
1 : Si la réponse à un problème est multiple.
2 : Si la mesure d’un problème doit être répétée selon le nombre total d’itération des Variables Primitives Simple « Pn » et/ou Complexe « Cn » (qui remplace une Variable Primitive Simple), comme c’est le cas par exemple des suites empiriques ou des suites multiplicatrices.
Dans le cas où il n’y a pas de Variable de Limitation, la Priorité de Réaction Parente « PRn(arg1,i) », où arg1 correspond ou bien à « Pn », ou bien à une valeur tiré de « Pn », tel que « PR(P1,i) », ou encore « PR( (P3/2) , i ) ».
S’il y a un Module Quaternaire précédent la Priorité de Réaction Parente, elle est déductible par les actions des Applications Finales « AF() » ; s’il y a une sélection qui avance progressivement avec le calcul, il y a obligatoirement un Module Quaternaire avec une Variable Secondaire de Mémoire qui débute la Suite Logique Parent (cette Variable Secondaire de Mémoire est visible par son incrémentation dans une Réaction finale).
La Priorité de Réaction Parent sera toujours « PRn(L1,i ... ) », en raison que « L1 » sera toujours la Variable de Limitation la plus grande, et que la variable « i » est la première Variable Secondaire de Mémoire utilisée pour résoudre un problème par résolution polynomiale.
À l’intérieur de la Priorité de Réaction Parente, il y a des Règles d’Application dans l’unique cas où l’ordre croissant de « i » n’est pas respecté par rapport à l’ordre de résolution du problème.
Pour finir, nous devons nous demander si la mesure est nécessaire avant d’entrer une première réponse dans la Variable Primitive de Mémoire « Mn ». Si oui, alors il y a une Suite Logique Enfant de Mesure appelée depuis l’Application Finale, et il y a une Suite Logique Enfant de Calcul qui appel l’Application Finale (ou Réaction Finale selon le cas). Si non, la Suite Logique Parent fait appel à une Application Finale ou une Réaction Finale, qui à son tour fera appel à une Suite Logique Enfant de Mesure.
Déduction des Suites Logiques Enfants de Mesure :
Dans toute Suite Logique et Application Finale, lorsqu’elle commence par un Module Quaternaire, cela veut dire que son calcul dépend d’une variable (généralement une switch entre 0 et 1) afin de définir la coupure optimale de son calcul, ou pour échanger des places dans une liste de priorité placée dans une Variable de Résolution.
Les Suites Logiques Enfant de Mesure ne servent qu’à deux choses. La première est de mesurer et placer l’information afin d’effectuer un calcul par la suite. La seconde utilité est d’actualiser une liste après l’entré d’un résultat dans une Variable Primitive de Mémoire « Mn ».
Le nombre de Suite Logique Enfant de Mesure est relatif au nombre de mesure différente à effectuer, additionné au nombre différent d’état de calcul pouvant être effectué en même temps. Par exemple, dans le problème des 400 étudiants, nous devons mesurer l’incompatibilité entre les étudiants, et les états de calcul pouvant être fait en même temps sont : « non mesuré et non calculé », « mesuré et non calculé », et « mesuré et calculé ». Nous avons donc un total de 4 Suites Logiques Enfant de Mesure.
Déduction des Suites Logiques Enfants de Calcul :
L’utilité de ce type de Suite Logique est de calculer la valeur de quelque chose qui à préalablement été mesurée. Pour une même action, il peut y avoir plusieurs Suites Logiques Enfant de Calcul ; elles sont relative à la profondeur du calcul à mesurer. Par exemple, dans le problème des 400 étudiants (P=NP), nous devons mesurer les incompatibilités entre les étudiants afin de calculer les incompatibilités des incompatibilités elle-même, ce qui fait une couches de profondeur, il y a donc une Suites Logique Enfant de Calcul pour résoudre le problème.
Déduction des Applications Finales :
La résolution d’un problème possède une Application Finale lorsqu’il existe une priorité d’assignation de valeur dans la réponse, ou une sélection suivant le résultat d’un calcul. Dans tout les autre cas, l’Application Finale est remplacée par une Réaction Finale. Dans le cas ou la réponse par résolution polynomiale peut être à la fois une Application Finale et une Réaction Finale, la résolution du problème possède les deux (p.ex : les 400 étudiants doit être choisi suivant un calcul, sauf si l’étudiant en cour de triage n’a pas d’incompatibilité.).
[2.8] Fractalisation de SCI : Fractalisation de la mécanique de Calcul Résolu.
Comme il a été mentionné plus tôt, il existe deux types de Fractalisation de la Mécanique de Calcul. Le premier type (la Fractalisation de la mécanique de Calcul Résolu) est utilisé lorsque vous souhaitez diviser un problèmes qui a déjà été résolu, afin d’exploiter indépendamment des parties du calcul pour résoudre un autre problème, ou simplement pour diviser un problème résolu en plusieurs problèmes résolus, dont chaque problème est différent et indépendant des uns des autres. Voici les différentes techniques :
1 : Passer par un processus de Défractalisation d’addition ou multiplicatrice dans le but de transformser une Formule de SCI en Équation Alternative ou en Équation de SCI. Cela peu être fait grâce aux tables de SCI. Nous verons plus en détail au sous-chapitre 2.21 comment exploiter les tables de SCI.
2 : Diviser à partir des Variables Primitives Complexes « Cn ». Les Variables Primitives Complexe marque une séparation naturelle de plusieurs problèmes unifiés. Par exemple, si nous combinons le problème des 400 étudiants au coloriage de graphe, nous pourrions dire que nous cherchons à savoir quel étudiant aura une place. Ensuite, selon les diviseurs des identifiants des étudiants choisis, nous savons que toute les places ayant les mêmes diviseurs sont des voisins. Le problème étant que nous devons donner des livres de couleurs différente entre chaque voisin, tout en ayant le moins de couleur que possible.
Dans cet exemple, « Mn » du problème des 400 étudiants (P=NP) devient « Cn » pour connaître les arcs de cercle. Si nous divisons le problème, « Cn » deviendrait « Pn » comme dans la résolution du coloriage des graphes, et ainsi, le problème serait divisé en deux partis pouvant être résolu indépendamment, sans avoir recours à une Variable Primitive Complexe.
3 : Diviser les micro-mesure et les micro-calcul. Pour les problème supérieur à la classe P, les Mesures et les Calculs sont toujours exprimés sous la forme « a1 OP a2 », et donc, cette formulation peut être elle-même composé d’une autre Mesure et d’un autre Calcul si : an = a1 OP a2, où au moins un argument possède un minimum d’un opérateur. Par exemple, si nous voulons définir un nombre congruent, nous pouvons exploiter cette Équation Alternative :
Discriminant #1 : parity(L) + (parity(d)*3) = 3 & parity(d/2) = 0
Discriminant #2 : (L+d) < 4
Discriminant #3 : d = 1 & p = 1
Discriminant #4 : L = d & p = 2
Discriminant #5 : (parity((L+2)/2)*3) + parity(d) = 3 & p = 2
/* « √( div²(A) ) », qui donnera toujours un nombre
auquel « r » peut prendre n'importe quel se ses diviseur.
*/
Variable r (distorsion rationnel) : ir( 1 , ∞ )
Variable L (Différence de longueur entre B et C) : ir( 1 , ∞ )
/* Pour définir R, nous devons prendre un diviseur de l'équation suivante :
Si « P=1 » : R = div²(L) / div( div²(L) , ((d+1)*2) )
Si « P=2 » : R = div²(L) / div( div²(L) , ((d-1)*2) )
*/
Diviseur R de la distorsion : ir( 1 , ∞ )
Distorsion d : ir( 1 , ∞ ) / R
Puissance p : ir( 1 , 2 )
// Aire d’un triangle rectangle rationnel « A » :
A = ( (L*d) * abs( L^(2-p) * d² - L^p ) ) / (2²*r²)
Règles d’Application :
Si r est Impair : A est un nombre congruent pair.
Si r est Pair :
Si L est Pair :
Si d est Impair : A est un nombre congruent pair.
Si d est Pair : A est un nombre congruent pair.
Si L est Impair :
Si d est Impair : A est un nombre congruent impair.
Si d est Pair : A est un nombre congruent pair.
Nous pouvons dire dans cette exemple que « ((L*d)/r) » est la mesure du calcul effectué. Mais si nous prenons uniquement cette mesure pour la fractaliser, nous obtenons une micro-mesure et un micro-calcul : la mesure est (L*d), l’opérateur est la division, et le calcul est « r ». Réunit ensemble, cela donne la longueur du plus petit segment d’un triangle rectangle rationnel avec une aire entière :
Discriminant #1 : parity(L) + (parity(d)*3) = 3 & parity(d/2) = 0
Discriminant #2 : (L+d) < 4
Discriminant #3 : d = 1 & p = 1
Discriminant #4 : L = d & p = 2
Discriminant #5 : (parity((L+2)/2)*3) + parity(d) = 3 & p = 2
Variable r (distorsion rationnel) : ir( 1 , ∞ )
Variable L (Différence de longueur entre B et C) : ir( 1 , ∞ )
Diviseur R de la distorsion : ir( 1 , ∞ )
Distorsion d : ir( 1 , ∞ ) / R
Puissance p : ir( 1 , 2 )
Segment a : ( L * d ) / r
Segment b : abs( ( ( L * d )² / ( L^p * 2 ) ) - ( L^p / 2 ) ) / r
OU : abs( L^(2-p) * d² - L^p ) / ( 2 * r )
Segment c : ( ( ( L * d )² / ( L^p * 2 ) ) + ( L^p / 2 ) ) / r
OU : abs( L^(2-p) * d² + L^p ) / ( 2 * r )
Localiser les nombres décimaux :
1 : Si L est impair et que d est pair, alors il y aura toujours un segment avec un nombre rationnel.
2 : Si r n’est pas égal à 1, et que d est un carré parfait (excluent 1), alors il y aura toujours un segment avec un nombre décimal.
3 : Si r n’est pas un divisible de L, alors il y aura toujours un segment avec un nombre décimal.
[2.9] Fractalisation de SCI : Fractalisation de la mécanique de Calcul Irrésolu.
Le deuxième type (la Fractalisation de la mécanique de Calcul Irrésolu) est utilisé lorsque vous souhaitez diviser un problèmes irrésolu en plusieurs petit problèmes afin de les calculer indépendamment. Une fois chaque petit problèmes résolu, il ne reste qu’as assemblé le tout. Cela permet d’éviter d’avoir a calculer directement des Variables Primitives Complexes, qui sont humainement difficile à résoudre sans passer par une Fractalisation de la Mécanique de Calcul Irrésolu.
Par exemple, lorsque j’ai associé les triangles rationnels aux coefficients A et B de la courbe utilisée par la célèbre conjecture de Birch et Swinnerton-Dyer, j’ai tout d’abord commencé par corriger des erreurs enseignés sur les triplets pythagoriciens, pour ensuite utiliser ces découvertes pour résoudre des problèmes irrésolus sur les triangles héroniens, puis corriger des fausses croyances et résoudre des problèmes irrésolus au niveau des nombres congruents, ce qui au final, a permit de déduire partiellement l’Équation de SCI qui prouve le lien de la courbe aux possibilités de triangles rectangles rationnels.
[2.10] Les Règles de SCI : Les 5 types d’informations.
Tout problème est composé de Nodes et de Modules, et possède jusqu’à cinq types d’information, représenté par les quatre Modules Primitifs des mathématiques de SCI:
Le Système d’Origine « SO() » : Définit l’état initial des variables à prendre en compte. Souvent, nous devons passer par une Proposition PN() afin de générer un schéma aléatoire ou précis.
La Suite Logique Parent « SLP() » : Ce module primitif définit la suite logique extérieure aux suites logiques qui servent à mesurer ou calculer un état. En d’autre terme, lorsqu’une réponse comporte plus d’une valeur à inscrire, ce module est nécessaire afin de prioriser l’ordre de calcul. Ce module est déduit facilement par la requête de l’énoncer, et par la Variable de Limitation la plus élevée.
Les Suites Logiques Enfant de Mesure « SLM() » : Ce module sert à mesurer l’état d’un problème. Pour résoudre n’importe quel problème, nous appliquons toujours la logique « Mesure Opérateur Calcul = Réponse ».
Les Suites Logiques Enfant de Calcul « SLC() » : Modules servent à calculer une mesure d’un problème afin de conclure par une Application Finale ou une Réaction Finale.
L’Application Finale « AF() » : Module qui définit la dernière action (itérée ou non) de la résolution d’un problème. L’application applique un résultat ; une valeur à la variable qui affiche la résolution d’un problème. Dans le processus de Défractalisation d’un problème, la Suite Logique Parent et l’Application Finale sont les seuls modules pouvant conserver des nodes composés tout en étant une Équation de SCI, du moment que cela sert uniquement à appliquer des réponses aux valeurs multiples d’un problème, car un problème qui nécessite une réponse itérée demande nécessairement au moins une Priorité de Réaction.
[2.11] Rappel sur la différence entre une Équation de SCI, une Équation Alternative, et une Formule de SCI.
Une Formule de SCI se caractérise par un nombre d’opération relatif aux valeurs des variables de l’Origine Primitive (comprenant l’initialisation des variables primitives) et de l’Origine des Limitations (comprenant l’initialisation des variables de Limitation) du problème en question. Lorsque nous sommes obliger d’exploiter des nodes composés à l’extérieur des Applications Finales afin de résoudre un problème, une Formule de SCI sera toujours une géodésie logique, c’est-à-dire une résolution polynomiale qui exploite le chemin logique le plus court pour résoudre le problème. Mais dès que la solution recherchée n’est pas une réponse itérée, et qu’elle ne nécessite pas d’effectuer un processus de Défractalisation Multiplicatrice, alors une Équation Alternative ou une Équation de SCI sera toujours un chemin plus court.
Excluent les variations causées par les Règles d’Application : une Équation Alternative se caractérise par un nombre d’opérations invariable pour chaque résultat entré, quelle que soit les valeurs des variables de votre équation. Cependant, contrairement à l’Équation de SCI, il existe des Règles d’Application (dit simplement : une Équation Alternative est une Équation de SCI avec des Règles d’Application). Par exemple, pour l’équation fictive « a/b=rnd(c) », on peut ajouter une règle selon laquelle a et b doivent être des nombres entiers pour que l’équation soit vraie, ou encore, appliquer des Règles d’Application afin d’altérer la méthode de calcul :
Méthode d’écriture pour une Formule de SCI :
RA( a=rnd(a) & b=rnd(b) )
{ a/b=rnd(c)
} !
{ rnd(a)/rnd(b)=c
}
Méthode d’écriture pour une Équation Alternative :
Discriminant #1 : a = rnd(a)
Discriminant #2 : b = rnd(b)
Variable a : r(0,100)
Variable b : r(0,100)
Variable c : rnd(a) / rnd(b)
Variable !c : rnd(a/b)
Une Équation de SCI se caractérise par :
- Un nombre d’opération invariable peu importe les valeurs des variables de votre équation.
- Il s’agira toujours d’une géodésie logique pour l’ensemble des valeurs possibles pour les variables de l’Origine Primitive.
- Elle ne possède aucun node composé ni de Variable Secondaire de Mémoire, sauf dans le cas où la réponse est itérée, dans ce cas précis uniquement, l’Équation de SCI peut posséder des Priorités de Réaction et des Variables Secondaire de Mémoire pour une Application Finale (la somme des Priorités de Réaction de l’Application Finale doit former un seul et unique module tertiaire). En d’autre terme, les Priorités de Réaction sont permises, du moment qu’elle respecte la Relativité des Réactions.
- La conjecture de la Défractalisation Multiplicatrice n’étant pas entièrement résolu, nous pouvons également dire que les Priorités de Réaction peuvent être également être utilisés dans le cadre d’expression de suite multiplicatrice ou de division provenant des Tables de SCI. Par exemple, la suite « n! » est une suite multiplicatrice, et la suite de fibonnaci est une suite empirique, donc elle aussi considérée comme une suite multiplicatrice.
Note : Les variables en tant qu’exposant ne compte pas comme élément variable dans une Équation de SCI ou une Équation Alternative, car il faut résoudre la conjecture de la défractalisation multiplicatrice.
[2.12] Les règles de SCI : Les Principes des Mathématiques de SCI.
À Partir de la théorie « tout est un arbre », nous pouvons définir 7 principes mathématiques qui englobe les Règles de SCI de la Résolution en Losange :
1: Si nous possédons aux moins deux types d’informations au complet, il est possible de facilement déduire les deux autres.
Par exemple:
- Si nous avons les Suites Logiques Enfant de Mesure et de Calcul, nous pouvons déduire le Système d’Origine afin d’obtenir l’Application Finale.
- Si nous connaissons le Système d’Origine et/ou les résultats possibles du problème et/ou l’Application Finale, nous pouvons déduire la Suite Logique Parent à appliquer afin de déduire par la suite les Suites Logiques Enfant pour Mesurer et Calculer les différences de résultat.
Donc, pour tout problème, il nous suffit de connaître deux des quatre éléments suivants pour déduire le reste sous la forme d’une Formule de SCI (ou en Équation de SCI pour les problèmes n’ayant pas de Variable Primitive de Résolution):
- Le Système d’Origine.
- Le/Les Suite Logique Enfant de Mesure.
- Le/Les Suite Logique Enfant de Calcul.
- L’Application Finale, ou le/les résultats recherchés. Il n’est pas nécessaire de connaître tout les résultats recherchés, mais, suivant l’ordre croissant des différent résultats possible, il nous suffit de connaître des résultats différents : un nombre minimum de résultat relatif au nombre de dimension d’itération des variables à exploiter dans l’Origine Primitive.
Note : Dans la théorie « tout est un arbre », le Système d’Origine correspond aux feuilles de l’arbre. Quant aux Suites Logiques Enfant de Mesure, elle sont représentées par les petites branches de l’arbre ; les Suites Logiques Enfant de Calcul sont les branches qui sont directement relié au tronc. Pour les Applications Finales, elles sont représenté par le tronc de l’Arbre. Et enfin, la Suite Logique Parent est représenté par le nombre de grosses branches rattaché au tronc de l’arbre.
Ce principe dit que nous pouvons calculer sans vérifier un problème sous la forme d’une Formule de SCI pour les problèmes supérieurs à la classe P, et une Équation de SCI ou une Équation Alternative pour les classes inférieurs à NP. La limite de possibilité logique pour résoudre un problème par une Formule de SCI, incluant uniquement les formules minimalisées pour définir une résolution polynomiale, est relatif au nombre de variable définit dans un Système d’Origine. Cette limite de possibilité tant vers l’infini, mais peut être réduite sans perdre la géodésie logique, en appliquent des règles mathématiques: Les règles de SCI.
2: Tout problème définit affiche son Système d’Origine; tout problème définit permet de déduire facilement son Système d’Origine par le Calcul du Pole, et au moins un deuxième type d’information (SLM, SLC, AF ou RF). Dans les Mathématiques de SCI, comprendre la question, c’est savoir comment résoudre le problème par déduction logique.
Note : Pour tout problème logique, il n’y a qu’une méthode de résolution qui est universelle : la Résolution en Losange. Cependant, il faut noter que la Résolution en Losange n’est pas parfaite, non pas qu’elle ne fonctionnerait pas dans la totalité des situations, mais parce qu’il faut connaître un grand nombre de règles pour déduire la réponse. Conscient de cette difficulté, j’ai prévu d’écrire une nouvelle formule afin de simplifier la résolution en losange, sans perdre ses avantages.
3: Dans une Équation Alternative ou Équation de SCI, le nombre de Priorité de Réaction « PR » est relatif au nombre de dimension de la Variable Primitive de Mémoire qui en possède le plus : c’est ce qu’on appel la Relativité des Réactions. Par exemple :
1 : variable.
Ici, il n’y a pas de dimension d’itération, donc elle ne peut pas être placée à l’intérieur d’une Priorité de Réaction « PR ».
2 : variable[i].
Ici, il y a une dimension d’itération, donc cette variable peut être placée dans un maximum d’une Priorité de Réaction, tel que « PR(L,i){variable[i] = argument} ».
3 : variable[i,j].
Ici, il y a deux dimensions d’itération, donc cette variable peut être placée dans un maximum de deux Priorité de Réaction, tel que « PR²(L,i,j){variable[i,j] = argument} ».
Note : Sous la syntaxe habituellement utilisé pour les Équations Alternatives, les Variables Primitives de Mémoire sont les variables qui représente directement la solution à l’énoncer. Par exemple, si nous cherchons les longueurs de segment d’un triplet pythagoricien, seul les variables représentent les Segments A, B et C sont des Variable Primitive de Mémoire ; les autres variables n’en sont pas.
Tout problème exploitant une Priorité de Réaction sans respecter la Relativité des Réactions, peut passer par un processus de défractalisation afin d’en retirer les séquences logiques répétées (p.ex: L'obtention des coefficients A et B de la conjecture BSD sans boucle ni recherche), et ainsi passer d’une Formule de SCI à une Équation de SCI. Cependant, pour les suites multiplicatrices (ex : n!), incluant les suites de résultat empirique (ex : suite de fibonacci), cela n’est pas prouvé qu’il existe une Équation de SCI régulière pour toute valeur de n. Ce problème de défractalisation multiplicatrice reste irrésolu (peut-on défractaliser une suite multiplicatrice ou empirique?), mais pour tout condition extérieur à la conjecture de la défractalisation multiplicatrice, le processus de la défractalisation à été prouvé.
Sauf pour la Priorité de Réaction d’une Application Finale respectant la Relativité des Réactions, et des suites multiplicatrice ou empirique encadrée par la conjecture de la défractalisation multiplicatrice (ex : suite de fibonnaci) : toute Formule de SCI qui exploite des Nodes composés (Priorité de Réaction et/ou Règle d’Application) peut être défractalisée afin d’en tirer une équation algébrique; une Équation de SCI. Ce constat démontre donc qu’une formule qui exploite une Priorité de Réaction pour résoudre un problème (sauf dans l’application finale ou la suite logique parent dans le cadre de la relativité des réactions, et dans les cas de suites multiplicatrice ou empirique), ne peut pas être affirmée comme étant vraie (même si tous les résultats possibles sont vrais), car elle affiche une méthode de résolution d’un problème de manière non géodésique (en ne passant pas par le chemin le plus court, donc non conforme à la réalité elle-même).
Afin de prouver les axiomes de l’arithmétique, l’équation finale (l’Équation de SCI ou l’Équation Alternative) qui résout un problème, à l’exception des suites multiplicatrice ou empirique et du principe de la Relativité des Réactions sur les Suites Logiques Parent ou des Applications Finales, ne doit posséder aucune Priorité de Réaction, ni Règles d’Applications, car toute fractale logique est issue d’une suite logique sans fractale logique ; une Priorité de Réaction, comme pour une Règle d’Application qui n’agit pas en tant que discriminant ou possibilité alternative optionnelle, sont issu de fractal logique. Si par exemple vous avez une Priorité de Réaction dans une Suite Logique Parent, alors vous ne pourrez pas en avoir dans votre Application Finale (qui devient de ce fait : une Réaction Finale) ; inversément, si vous avez une Priorité de Réaction dans votre Application Finale, vous ne pouvez pas avoir de Suite Logique Parent.
Même si vous respecter les points du paragraphe précédent, cela ne prouve pas nécessairement que votre équation est vrai, car toute les variables doivent être prise de l’énoncé et choisi selon le Calcul du Pole. Par exemple, nous savons que les formules actuellement reconnus pour trouver des nombres congruents sont fausses (ex : y²=x³-(n²*x) ne permet pas de trouver le nombre congruent 720, alors que pour les longueurs de segment « A=18 », « B=80 », et « C=82 » est visible sous ma formule avec « L=9 », « d=2 » et «r=1», seul mes méthodes de calcul sur les nombres congruents fonctionnent réellement, voir le chapitre 4 de cette présente partie du livre), car les variables utilisées (x et y) ne se trouvent non pas dans l’énoncer du problème, mais choisi selon un effet non récurent des résultats, et donc, vous ne pouvez pas trouvez tout les nombres congruents ; j’ai résolu ce problème, et nous en reparlerons plus tard avec l’association d’une formule révèlent tout les nombres congruents aux coéficients A et B de la courbe utilisé par la conjecture BSD.
4: Toute suite de nombre suivant une orbite ou tendant vers une croissance infini possède une Équation de SCI. Plus simplement, toute Formule de SCI peut être transformé en Équation de SCI, et vise versa (p.ex : PR( rnd( L ) , i ){ M += i; } == M = rnd( L ) * (rnd( L )+1) / 2). Cependant, ce quatrième point n’a pas été démontré pour les suites multiplicatrices (ex : n!), ni pour les suites empiriques (ex : la suite de Fibonacci). L’ensemble de ses suites forme les Tables de SCI, qui forme toute les exceptions sur la déduction des logiques pour résoudre un problème. Ces exceptions font en sorte que les variables utilisées (ou leur placement) ne sont pas déductible facilement. Les Tables de SCI sont composée de :
Suite d’Addition ( ex : 1+2+3+4+...+n , 1+3+5+7+...+n )
Exemple :
1+2+3+..+n
= rnd( (n+1)/2 ) * ( ( rnd( n/2 ) * 2 ) + 1 )
= n*(n+1)/2
Suite de soustraction ( ex : 1-2-3-4-...-n , n-(n-1)-(n-2)-...-2-1 )
Suite de multiplication ( ex : 1*2*3*4*...*n )
Suite de division ( ex : 1/2/3/4/5/.../n )
Suite empirique ( ex : 1+1+2+3+5+8+13+21... )
Remarque : Une suite empirique se base sur un résultat précédent, alors que tout autre suite est relative à l’incrémentation de Variable Secondaire de Mémoire, sans tenir compte de résultat précédent.
5: Tout les nodes nécessaire pour résoudre un problème sont inclut dans son énoncé, sauf pour la défractalisation des Tables de SCI. Ces tables comprennent toute suite logique exprimée sous une Formule de SCI. Pour les Tables de SCI, nous ne pouvons pas utiliser la Fractalisation des Modules Primitifs pour résoudre le problème, car ce sont déjà des Formules de SCI. Il faut donc passer par un processus de défractalisation.
6: Tout les problèmes se règle par la logique suivante :
Mesure() Opérateur Calcul() = Réponse
Ou en respectant la Relativité des Réactions :
Priorité de Réaction { Mesure() Opérateur Calcul() = Réponse }
7: Il n’existe que quatre ensembles possible de nodes, formant la totalité des lois de l’univers, et donc, de la résolution de tout problèmes mathématiques:
A: Ensemble avec node composé:
fonc(Arg1 OP Arg2){ Arg3 OP Arg4 }
OU
fonc(Arg1 OP Arg2){ Arg3 OP Arg4 ; }
B: Les Déclencheurs Primitifs et Composés:
Once(Mod,ID)
Always(Mod,ID)
Stop(ID)
Collision(Arg1) OU Collision(Arg1,Arg2)
C: Le Module Quaternaire:
Arg1 OP Arg2
D: La Fonction Temporelle « ; »
Ces règles nous conduit à la logique suivante : pour résoudre un problème, il faut toujours appliquer la logique « Mesure Opérateur Calcul = Solution ». La mesure, c’est une valeur qui représente l’état initiale du problème, et le calcul représente la question en elle-même dont nous devons tenir en compte.
Par exemple, pour le problème des 400 étudiants, nous avons 400 étudiants avec des incompatibilités entre eux. Nous pouvons les représenter dans une grille de 400 par 400, où chaque case représente les incompatibilités possible. Puisque nous devons tenir en compte uniquement les incompatibilités pour résoudre le problème, nous disons que la mesure est le nombre des incompatibilités de l’étudiant, et doit être mit au carré pour représenter la valeur réel des incompatibilité, car la grille minimale pour représenter le problème « case par case » est de 400 par 400 : les colonnes représente les étudiants, et les rangés leurs incompatibilités.
Pour savoir si un étudiant est préférable à un autre pour occuper l’une des 100 places disponible, nous devons tenir en compte la valeur restrictive de leurs incompatibilités. Nous comptons donc le nombre d’incompatibilité d’un étudiant au hasard, et nous additionnons ce nombre au nombre d’incompatibilité de chacune de ses propres incompatibilités. Si nous disons la mesure optimale d’un étudiant est de 0 (0 voulant dire qu’il n’y a pas de restriction extérieur au choix de l’étudiant lui-même), alors plus le nombre est élevé, plus l’étudiant aura des restrictions sur le nombre de place pouvant être occupé s’il est choisi. Ainsi, nous savons que « Mesure ² - Calcul = Valeur de l’étudiant », et donc, pour obtenir la valeur du calcul, nous sélectionnons un étudiant, nous comparons sa valeur a celle de ses incompatibilités, et nous choisissons à chaque fois celui qui possède la plus petit valeur en rejetant les incompatibilités de l’étudiant choisi, car plus la valeur est petite, moins sont choix aura des restrictions sur le nombre de place (la valeur 0 indique qu’il n’y aura pas de restriction supplémentaire). Nous parlerons en détail de la résolution du problème des 400 étudiants dans le chapitre 3.
[2.13] Les Règles de SCI des Modules Primitifs.

Les Règles de SCI s’étendent sur les Modules Primitifs, les Modules Secondaires, les Variables Primitives, les Variables Secondaires, et les Nodes Composés.
Commençons par les Règles de SCI sur les Modules Primitifs :
1 : Excluant le Système d’Origine Imaginaire, lorsque l’on effectue un calcul, celui-ci commence par un Déclencheur Primitif ou un Déclencheur Composé, et ce termine par un Déclencheur Secondaire. Le Système d’Origine Imaginaire est toujours le premier appelé via le Déclencheur Once, et se termine par le Déclencheur Stop(ID) après avoir appeler un Système d’Origine par un autre Déclencheur Primitif (Once ou Always).
2 : Le premier Système d’Origine d’un problème est toujours appelé par un Système d’Origine Imaginaire, un Déclencheur Primitif ou un Déclencheur Composé.
3 : Tout Système d’Origine se termine ou bien par une Proposition « PN() », ou bien par l’appellation direct de sa Suite Logique Parent, ou bien par l’appellation d’un autre Système d’Origine, ou bien par un Déclencheur Primitif ( sauf Stop(ID) ) ou un Déclencheur Composé qui active le Système d’Origine « SO() » ou une une Proposition « PN() ».
4 : Si les Suites Logique Enfants de Calcul et de Mesure sont un seul et même Module Primitif, la Formule de SCI peut facilement être converti en une Équation de SCI, car nous disons alors que la mesure et le calcul sont déjà intriqué. (ils sont dites « intriqué » lorsqu’ils ne possèdent pas de Priorité de Réaction ou de Règle d’Application pour s’appeler l’un l’autre ; nous avons alors « Mesure Opérateur Calcul » ). En d’autre terme, en tenant compte de la conjecture de la défractalisation multiplicatrice qui n’est pas résolu, et le principe de Relativité des Réactions, lorsque la Mesure et le Calcul sont intriqués dans un seul calcul appelé par une Suite Logique Parent, alors il est possible de transformer la Formule de SCI en Équation de SCI de manière simple et évidente.
5 : Dans le cadre d’une Formule de SCI, une Suite Logique (Parent ou Enfant) commence toujours ou bien par une Priorité de Réaction, ou bien un Module Quaternaire. Si une Suite Logique (Parent ou Enfant) commence par un Module Quaternaire, alors elle se poursuit immédiatement par une Priorité de Réaction.
6 : Dans le cadre d’une Formule de SCI, une Application Finale commence toujours ou bien par une Priorité de Réaction, ou bien un Module Quaternaire. Si une Application Finale commence par un Module Quaternaire, alors elle se poursuit immédiatement par une Priorité de Réaction.
7 : Excluant l’exploitation du Module Composé msg() (qui représente une réaction finale sans l’usage d’une variable pour emmagasiner une information), une Suite Logique Parent se termine toujours par une Application Finale, une Réaction Finale, l’appellation d’une Suite Logique Enfant de Calcul, ou l’appellation d’un Système d’Origine.
8 : Une Suite Logique Parent peut effectuer une seule Priorité de Réaction; cette dites Priorité de Réaction est appelée « Priorité de Réaction Parente ». Toutefois, d’autres Priorités de Réaction peuvent être fait à l’intérieur de sa dite Priorité de Réaction lorsqu’elle suit immédiatement la Priorité de Réaction Parente, excluant les Modules Quaternaires. Dans une Suite Logique Enfant, la première Priorité de Réaction est pareillement appelée une «Priorité de Réaction Parente», et cette même règle s’applique.
9 : Excluent le Module Quaternaire précédent la Priorité de Réaction Parente, une Suites Logiques Parent ne peut pas posséder de Module Quaternaire, mais uniquement des Modules Quintiaires, des Modules Composés « break » et/ou « exit », et/ou des Déclencheurs.
10 : Une Suite Logique Parent contiendra toujours une Suite Logique Enfant permettant la mesure, et/ou une Application Finale (ou une Réaction Finale selon le cas). Mais elle ne contiendra pas nécessairement une Suite Logique Enfant de Calcul.
11 : La Suite Logique Enfant de Calcul est soit intriqué dans la Mesure (s’il s’agit d’une transformation en Équation de SCI, une transformation en Équation Alternative, ou si elle est placé dans une Règle d’Application Solitaire), ou, lorsqu’il s’agit d’une Formule de SCI : elle est placée ou bien après la Suite Logique Enfant qui prend les mesures, ou bien placée après une Application Finale (qui appel une Suite Logique Enfant de Mesure) dans une Suite Logique Parent.
12 : La Suite Logique Enfant de Mesure est toujours appelée avant la Suite Logique Enfant de Calcul. La Suite Logique Enfant de Calcul peut être appelée sans Suite Logique Enfant de Mesure, mais dans ce cas-ci, à l’exception des problèmes les plus simple (simplicité en dessous de la classe NP), cette dite Suite Logique fera toujours comme première opération, suivant une Règle d’Application, un appel à une Suite Logique Enfant de Mesure.
13 : Une Suite Logique (Parent ou Enfant) commence toujours ou bien par une Priorité de Réaction, ou bien par un Module Quaternaire. Pour tout problème dont la complexité est au-dessus de la classe P, si une Suite Logique (Parent ou Enfant) commence par un Module Quaternaire, alors elle se poursuit immédiatement par une Priorité de Réaction.
14 : Une Suite Logique Enfant de Mesure se termine toujours par un Module Quaternaire, une Application Finale (ou Réaction Finale), ou l’appellation d’une Suite Logique Enfant de Calcul.
15 : Une Suite Logique Enfant possède un nombre maximum de Priorité de Réaction relatif à la Variable Primitive exploitée par cette dernière (ou la Variable Secondaire de Limitation), ayant le plus de dimension d’itération. Au delà de cette limite, il s’agit toujours d’un Module Imbriqué.
Par exemple, si une Suite Logique Enfant commence par « PR( P[i,i] , j ) », la Variable Primitive Simple ( P[i,i] ) possède 2 dimensions d’itération, donc, il ne peux y avoir plus de deux Priorités de Réaction à l’intérieur de cette Suite Logique Enfant, excluent les Modules Imbriqués. Un autre exemple, si nous avons « PR(L,j) », la Variable Secondaire de Limitation « L » n’a pas de dimension d’itération, donc, il n’y a pas d’autre Priorité de Réaction dans votre Suite Logique Enfant (excluent les Modules imbriqués).
Les Modules Imbriqués sont des Suites Logiques placées à l’intérieur de d’autres Suites Logiques, elles se caractérisent par le fait qu’elles ne demandent aucun argument supplémentaire pour exister, et sont appelées uniquement que par la Suite Logique qui les précèdent. Elles peuvent donc être placées naturellement à l’intérieur d’une Règle d’Application au lieu de créer un Module Primitif séparément. Les Modules Secondaires ne sont pas considérés comme étant des Modules Imbriqués à leurs Modules Primitif, car, étant toujours dépendant de l’existence d’au moins un Module Primitif précis, ils sont considérés comme faisant parti de leurs Modules Primitifs.
À noter qu’une Suite Logique Parent qui est appelé uniquement depuis une Proposition ou un Système d’Origine sans Proposition n’est pas considérée comme une Module Imbriquée, car nous pouvons constater dans la Mécanique de SCI que l’initialisation des variables et de leur valeur sont fait de manière totalement indépendante dans les amats logiques. En d’autre terme, toute logique appelée uniquement depuis un Module Secondaire ne peut pas être considérée comme étant un Module Imbriqué, car il faut tenir en compte des possibilité hypothétique de la résolution du problème, et non seulement les possibilités de lien que l’on a écrit.
16 : Pour tout problème dont la réponse est multiple et dont la complexité est au-dessus de la classe P, une Suite Logique Enfant ne peut être appelé ni par un Système d’Origine, ni par une Proposition. De plus, les Suites Logique Enfant n’existent que dans les Formules de SCI. Dans une Équation Alternative ou une Équation de SCI, il n’existe aucune Suite Logique Enfant, car ces suites sont dépossédées de tout node composée ne respectant pas la Relativité des Réactions ou n’étant pas placé pour inscrire une suite empirique ou multiplicatrice (en raison que la conjecture de la défractalisation multiplicatrice n’est pas résolu), et sont dites intriquées dans une Suite Logique Parent, une Application Finale, ou une Réaction Finale selon le cas.
17 : Une Suite Logique Parent peut être appelée uniquement que depuis un Système d’Origine, une Proposition, ou un Déclencheur.
18 : Une Suite Logique Enfant de Calcul se termine toujours par une Réaction Finale, une Application Finale, un Module Quaternaire, ou l’appellation d’une autre Suite Logique Enfant de Calcul.
19 : Une Suite Logique Enfant peut être écrite « SL() », ou « SLE() », lorsque nous n’affichons pas s’il s’agit d’une Suite Logique Enfant qui effectue une Mesure ou un Calcul. Nous appelons les Suites Logique Enfant « SLM() » afin de déclarer qu’il s’agit d’une Suite Logique qui effectue une Mesure, et « SLC() » pour déclarer qu’il s’agit d’une Suite Logique qui effectue un Calcul.
[2.14] Les Règles de SCI des Modules Secondaires.
Les Règles de SCI sur les Modules Secondaires sont les suivantes :
1: L’Origine des Limitations, doit toujours être le premier Module Secondaire appelé dans un Système d’Origine, car il est le seul module qui ne dépendra jamais des autres modules du Système d’Origine pour initialiser une variable, et ce, peu importe la situation. L’Origine des Limitations est toujours suivi par l’Origine de Mémoire. L’Origine des Limitations permet souvent de définir la longueur des itérations des variables dans l’Origine Primitive, et/ou des valeurs par défaut de ces variables.
2: L’Origine de Mémoire, bien que calculé en dernier dans le Calcul du Pole, doit toujours être le deuxième Module Secondaire appelé dans un Système d’Origine, car sauf avec l’Origine des Limitations (dans de très rare cas), il ne dépendra jamais des autres modules du Système d’Origine pour s’initialiser ses variables.
3: Une valeur isolée (valeur non définit par une variable) ne peut pas avoir une valeur excédant le nombre total de variable de l’Origine Primitive. Si une valeur isolée doit être supérieure au nombre total de Variables Primitives du Système d’Origine, il faut obligatoirement utiliser au moins une Variable de Limitation afin que la valeur isolée ne brise pas la règle présente.
4: Toute Proposition se termine toujours par l’appellation de l’un des Modules Primitifs suivant:
- S’il n’y a pas de Suite Logique Enfant (et donc, il s’agit ici d’une Équation Alternative ou de SCI), une Application Finale, ou une Réaction Finale.
- Dans le cas où le problème fait appel à une Variable Primitive Complexe, un Système d’Origine peut être appelé.
- S’il y a des déclencheurs (p.ex : un déclencheur par collision) pour sa Suite Logique Parent, la Proposition n’est pas obligé d’appeler un Module Primitif à la fin.
- Pour tout les autres cas, une Suite Logique Parent.
[2.15] Les Règles de SCI des Variables Primitives.
Les Règles de SCI sur les Variables Primitives sont les suivantes :
1: Les Variables Primitives Complexes « Cn » servent uniquement à fractaliser ou défractaliser un problème. Elles simplifient la résolution d’un problème, ou le sépare en plusieurs problèmes plus petit. Bien qu’acceptable pour la création d’une Formule de SCI, une Formule de SCI n’en possède pas une fois optimisée.
2: Les Variables Primitives de l’Origine Primitive doivent toujours être placées en ordre décroissant en termes de nombre de dimension d’itérations, puis de nombre d’itération, et enfin de Valeurs par défaut. Par exemple, P1 sera toujours égal ou supérieur à P2, P2 sera toujours égal ou supérieur à P3, et ainsi de suite. Voici un exemple de placement :
OP( L1,L2,L30³ , L1,L10² , L1,(L2+1)01 ¦ L1,L10² , L231 ¦ L111 ) ;
La raison de cette ordre permet de rapidement définir quel variable doit être exploitée en premier pour résoudre un problème. Par exemple, nous mesurerons toujours P1 avant P2, et nous effectuerons toujours les calculs de R1 avant R2. Nous priorisons toujours les résultats de M1 avant M2, etc...
3: Une Variable Primitive de Résolution ne peut pas exister sans Variable Primitive Simple ou Complexe ; le nombre de Variable Primitive de Résolution ne peut pas être supérieur au nombre de Variable Primitive Simple additionné au nombre de Variable Primitive Complexe. Une Variable Primitive Simple ou Complexe ne peut pas exister sans l’existence d’au moins une Variable Primitive de Mémoire.
Il existe cependant une exception à la règle présente. Si une Variable Primitive Simple ne possède pas de dimension d’itération, elle n’a pas besoin d’exister, car une Variable Secondaire de Limitation peut la remplacer. Ainsi, Une Variable Primitive de Résolution peut exister sans Variable Primitive Simple dans ce cas particulier.
À noter que les Variables Primitives de Mémoire peuvent posséder plus de dimension d’itération et/ou d’itération que les autres types de Variables Primitives. Cependant, cela indique que le résultat ne sera pas une géodésie logique, et qu’elle pourrait posséder moins de dimension d’itération et/ou d’itération pour emmagasiner le même résultat.
4: Au moins une Variable Primitive Simple « Pn », de Résolution « Rn », ou de Mémoire « Mn » doit être convertie par une Variable Primitive Complexe « Cn » lorsque le Système d’Origine dépend d’au moins un autre Système d’Origine provenant d’une exécution antérieur. Dans une Origine Primitive ou une Origine des Limitations, nous écrivons « "Cn" » comme valeur pour renommer une variable, et nous écrivons « Cn » en tant que sous-exposant de droite d’une Variable afin de déclarer qu’il prend les valeurs de la Variable Primitive Complexe « Cn ». Par exemple, dans un premier Système d’Origine nous pourrions voir « OP( (L+1),L0² ¦ (L+1),L0² ¦ L"C1"1 ) », et dans le deuxième appelé nous retrouvons la même Variable Primitive Complexe à la place d’une Variable Primitive Simple ou de Résolution « OP( LC11 C1 ¦ L01 ¦ L"C2"1 ) », et un troisième calcul d’un troisième Système d’Origine pourrait définir un résultat « OP( LC21 C2 ¦ 0 ) ».
RAPPEL : dans une Origine Primitive ou une Origine des Limitations, la façon de placer les valeurs et les variables modifient la manière dont les Variables Primitives sont initialisées. Voici les 5 méthodes de placement d’une variable ou d’une valeur dans l’Origine Primitive :
1 : « OP( L,L "var"² ) » donne le nom "var" à la variable et l’initialise à 0.
2 : « OP( L,L var² ) » donne la valeur de la variable « var » à la variable.
3 : « OP( L,L 0²var ) » donne la valeur 0, et indique que c’est la même variable que « var », et donc, porte le même nom que « var ».
Note : Attention, lorsque l’on indique qu’il s’agit de la même variable, le nombre de dimension et les proportions doivent être les même, ou plus élevé. Si par exemple, « var » possède une dimension d’itération comportent 50 itérations, votre importation devra comporter un minimum d’une dimension avec un minimum de 50 itérations. Les itérations supplémentaire, s’il n’y a pas de valeur d’assigné par défaut, auront toujours la valeur 0 par défaut.
4 : « OP( L,L var1²var2 ) » donne la valeur de var1 à la variable, et indique que c’est la même variable que « var2 », et donc, porte le nom de la variable « var2 ».
5 : « OP( L,L "var1"²var2 ) » renomme la variable « var2 » par "var1", et indique que c’est la même variable que « var2 », et possède donc les mêmes valeurs que var2.
Note : var2 peut-être remplacée par une valeur ou un argument. Par exemple nous pourrions dire « OP( L,L"var1"²(L/3) ) ». Ainsi, nous renommons la variable pour var1, et nous lui attribuons la valeur (L/3).
5: Par défaut, les Variables Primitives Simple « Pn » et Complexes « Cn » peuvent être modifiées uniquement dans une Proposition « PN() » ou un Système d’Origine « SO() ». Toutefois, si ces Variables Primitives (Pn ou Cn) ont une dimension d’itération, une seule itération de la variable peut être modifiée dans des Suites Logiques Enfant ; s’il y a plus d’une dimension d’itération, alors le nombre de dimension d’itération moins 1 peut être modifié dans les Suites Logiques Enfants ; les variables pouvant être modifiées sont ou bien répartis uniformément dans une ou plusieurs dimension d’itération selon une répartition logique, par exemple « PR(L,i){ P[i,i] = 1 } », ou encore « PR(L,i){ P[L,i,1] = 1 } » .
Dans les Suites Logiques Enfants, les valeurs des Variables Primitives Simple « Pn » et Complexe « Cn » peuvent être modifiées une seule fois. Après qu’une valeur ai été modifiée dans une Suite Logique Enfant, elle ne peut être modifiée de nouveau sans avoir été préalablement réinitialisé par le billet d’un Système d’Origine ou une Proposition afin d’effectuer un nouveau calcul sans lien avec son calcul précédemment utilisé dans la Suite Logique Enfant.
Cependant, les variables excédants la taille délimitée par les Variables de Limitation peuvent pareillement être modifiée dans les Suites Logiques Enfants, par exemple : dans « OP( L1,(L1+1)0² ¦ L1,(L1+1)0² ¦ L201 ) » , la Variables Primitive « P » allant de Variable[1,(L1+1)] à Variable[L1,(L1+1)] sont modifiable sans restriction dans les Suites Logiques Enfants. Ou encore, pour « OP( (L1+2)01 ¦ L101 ¦ L201 ) », la variable « P » possède deux valeurs qui peuvent être modifiées dans les Suites Logiques Enfants sans restriction.
Il existe une autre exception sur la modification des valeurs de ces variables : la réinitialisation sans influence sur le calcul. Ce type de réinitialisation se produit lorsque l’on modifie une valeur d’une Variable Primitive Simple (ou complexe si elle est initialiser comme une Variable Primitive Simple) sans respecter la présente règle de SCI, mais qui n’influence aucunement le calcul en cour (c’est-à-dire que sans cette modification, les résultat aurait toujours été le même pour le calcul en cour, peu importe les circonstances). Nous appliquons normalement ce genre de modification pour deux raisons :
1 : L’exploitation de deux calculs lancés simultanément (p.ex : causé par un déclencheur Always ou Collision, faisant que le calcul s’exécute deux fois simultanément).
2 : Pour des raisons extérieurs au calcul lui-même (p.ex : pour suivre visuellement une progression du calcul).
6: Dans la résolution d’un problème, Une Variable Primitive de Résolution « Rn » ne pourra jamais contenir plus de valeur qu’une Variable Primitive Simple « Pn » et Complexe « Cn » (dans le cas où elle qui remplace une variable primitive simple), où « n » représente la position dans l’Origine Primitive (par exemple, « R2 » n’aura jamais plus de dimension d’itération que « P2 », ou encore « R1[i] » n’aura jamais plus de valeur dans sont itération i que « P1[i] »). De ce fait, il ne peut y avoir plus de Variable Primitive de Résolution « Rn » que de Variable Primitive Simple ou Complexe (dans le cas où elle qui remplace une variable primitive simple).
Cependant il existe une exception : Lorsque « Mn » à plus de dimension d’itération que « Pn », « Rn » peut posséder plus de dimension d’itération qu’une Variable Primitive Simple, mais ne pourra pas en posséder plus que la Variable Primitive de Mémoire. En d’autre terme, il faut tenir en compte uniquement la Variable Primitive (simple, complexe ou de Mémoire selon le cas) qui à le nombre de valeur ou de dimension d’itération le plus grand, tout en respectant la croissance de « n » (ex : R1 tien en compte P1, C1 et M1).
[2.16] Les Règles de SCI des Variables Secondaires.
Les Règles de SCI sur les Variables Secondaires sont les suivantes :
1 : Les Variables Secondaire de Limitation « Ln » peut être initialisée dans l’Origine des Limitations d’un Système d’Origine et peuvent être modifiées depuis une Proposition, mais aucun autre Module Primitif ne peut modifier leur valeur.
2 : Il est permit de modifier la valeur des Arguments uniquement depuis le Module Primitif auquel il a été appelé; À l’intérieur de son propre Module Primitif, il est interdit de modifier leur valeur.
3 : La valeur par défaut d’une Variable Secondaire de Mémoire assignée dans une Proposition « PN() », excluant l’ajout de la valeur des Variables de Limitation utilisées, ne peut pas excéder le nombre total de variable initialisée dans l’Origine Primitive, et ne peut être inférieur du nombre maximum de dimension d’itération utilisée par les variables de l’Origine Primitive de son Système d’Origine, sauf si la valeur par défaut reste à 0. Par exemple, si nous avons comme Origine Primitive « OP( L101 ¦ L101 ¦ 0 ) », il y a deux dimensions d’itération pour trois variables. La valeur par défaut des Variables Secondaire de Mémoire ne peuvent être que 0, 2, ou 3 (ex : i = L1+2).
4 : Dans certain cas, il se peut que les Variables Secondaires de Mémoire soient elles-mêmes itérées. Au lieu d’itérer avec un nombre, la lettre est répétée au nombre d’itération. Pour itérer une Variable Secondaire de Mémoire depuis l’Origine de Mémoire « OM() », il faut entrer des nombres, séparé d’une virgule et entre parenthèse, en tant qu’exposant, et toujours en ordre décroissant, par exemple : OM( 4(3,2) ) , OM²( 2 ) .
Ces itérations permet de séparer les Variables Secondaire de Mémoire selon les séparations logique naturelle du calcul à effectuer, ce qui permet de mieux visualiser les variable d’itération qui seront constamment dépendante l’une de l’autre durant votre calcul. Une méthode de calcul consiste à effectuer les conditions suivantes, jusqu’à ce que toute les Variables Secondaire de Mémoire soient classifié :
1 : Pour connaître le nombre d’itération de i, il faut soustraire le nombre de Variable Secondaire de Mémoire au nombre de Variable de Limitation.
2 : Les dernières variables d’itération correspondent au nombre de dimension d’itération des Variables Primitives de Mémoire.
3 : Pour les autres Variables Secondaire de Mémoire, il faut exclure les Variables Secondaires de Mémoire déjà utilisée dans l’étape #1, et soustraire ce nombre par le nombre d’itération de la Variable Primitive de Mémoire utilisée à l’étape #2 pour obtenir un résultat.
4 : Avec le dernier résultat obtenu, retirez le nombre de dimension d’itération de la Variable Primitive de Mémoire pour un nouveau résultat à ajouté. Et répété cette étape jusqu’à avoir classifié tout les Variables Secondaires de Mémoire.
5 : Avec les résultats obtenus, il faut inverser l’ordre de placement. Si par exemple vous avez i, ii, j et k, vous obtenez : i, j, k, kk.
Premier exemple : Le problème des 400 étudiants.
OM(5)
OL(400,100)
OP( L1,(L1+1)0² ¦ L1,(L1+1)0² ¦ L201 )
// Première Étape : 5-2=3. Donc il y a i, ii, et iii.
// Deuxième Étape : il y a 1 dimension d’itération. Donc il y a k.
// Troisième Étape : 5-3=2. 2-1=1. Donc il y a j.
/* Quatrième Étape : il y a 1 dimension d’itération : 1-1=0.
Il y a donc aucune autre variable secondaire de mémoire restante.
*/
// Cinquième étape : inversion. Nous obtenons i, j, k, kk, et kkk.
// Résultat :
OM(3(1,1,3))
Deuxième exemple : Le Coloriage de graphe.
OM(5)
/* La deuxième Variable de Limitation est invisible, car elle correspond
au nombre maximum de couleur permise, qui est égal à L1.
*/
OL(100)
OP( L,L0² ¦ (L+1),L0² ¦ L01 )
// Première Étape : 5-2=3. Donc il y a i, ii, et iii.
// Deuxième Étape : il y a 1 dimension d’itération. Donc il y a j.
// Troisième Étape : 5-3=2. 2-1=1. Donc il y a j.
// Quatrième Étape : 1-1=0. Donc il n’y a plus de variable.
// Cinquième étape : inversion. Nous obtenons i, j, k, kk et kkk.
// Résultat :
OM(3(1,1,3))
5 : Pour l’exploitation de l’ensemble théorique de la Fractalisation des Modules Primitifs, les valeurs par défaut des Variables de Limitation doivent toujours être placées en ordre décroissant. L1 sera toujours égal ou supérieur à L2, L2 sera toujours égal ou supérieur à L3, et ainsi de suite. La dite ordre décroissant doit tenir en compte les possibilités sur la différence du maximum des Variables Secondaires de Limitation « Ln » pouvant être modifiée dans le Module Secondaire de Proposition « PN() ».
6 : Des Variables de Limitation « Ln » peuvent posséder par défaut la même valeur dans l’unique cas si le calcul ou la mesure d’une Suite Logique Enfant exige une variation de limitation indépendamment de l’égalité présente. Cela peut arriver dans le cas suivants :
1 : L’exploitation d’une Variable Primitive Complexe « Cn ».
2 : Les Variables de Limitation proviennent de Systèmes d’Origine différent.
3 : La résolution du problème suggère la possibilité que les valeurs par défaut des Variables de Limitation puissent être différentes, le plus souvent par le billet d’une Proposition « PN() ».
7 : Dans un Système d’Origine Source (Un système d’Origine appelé de manière imaginaire), le premier argument de l’OMI définit le nombre de fois où chaque argument peut avoir besoin d’être appelé dans des Modules Primitif différent ; ce nombre est égal au nombre de Module Primitif Non-imaginaire utilisé, excluent les Modules Primitifs imbriqués, moins 1. Et le nombre maximum d’itération d’Argument (a1, a2, a3...) exploité en même temps dans un seul Module Primitif (définit par le deuxième argument de l’OMI) est égal au nombre maximum de dimension d’itération utilisé dans une seule Variable Primitive des Origines Primitives Non-Imaginaire concernées. En d’autre terme, pour OMI(val1,val2), val1 définit le nombre de Variable Secondaire de Mémoire, et val2 définit le nombre d’argument (a1,a2,a3...) pouvant être utilisé en même temps. Si val2 est égal à 2, alors seul a1 et a2 pourront être utilisé pour résoudre le problème.
8 : Il est interdit de modifier la valeur d’un argument en passant par son propre module primitif. Nous pouvons ajuster sa valeur uniquement dans un Module Quintiaire, en y assignant une valeur qui ne sera utilité que dans le Module Quintiaire concerné.
Exemple valide :
SL( i ) ; // l’argument a1 de SL est égal à i.
Exemple non valide :
// L’argument a1 se voit assigner la valeur i dans son propre module primitif, et donc : invalide.
a1 = i ;
[2.17] Les règles de SCI des Nodes Composés.
Les Règles de SCI sur les Nodes Composés sont les suivantes :
1: Les seuls Nodes Composés permit sont les Priorités de Réaction « PR », et les Règles d’Application « RA » ( incluant &, | et !. À noter que l’application des syntaxes dans les argument « ? » et « : » pour l’obtention d’une valeur, doit tenir en compte le départ et la continuité conditionnelle définit dans les règles de SCI 6 et 7 sur les modules composées.).
2: Une Règle d’Application Solitaire est une Règle d’Application placée après la conclusion d’une Priorité de Réaction Parente, et dans certain cas, elle peut aussi précéder une Application Finale (ou Réaction Finale selon le cas). Dans une Suite Logique Parent, les Règles d’Applications Solitaires peuvent être créées uniquement dans les cas suivants :
- La vérification de la possibilité d’un résultat et couper le calcul lors d’une impossibilité. Par exemple : « RA( P[ a1 , a1 ] > 0 ){ SLC.3( a1 , P[ a1 , a1 ] ) ; } ».
- Le choix d’une valeur ou une variable destinée à être assignée ou ajoutée immédiatement après à une Application Finale ou une Réaction Finale. Par exemple : « RA( P[ a1 , a1 ] > 0 ){ AF( P[ a1 , a1 ] ) ; }!{ AF( R[ a1 , a1 ] ; } ».
- La vérification de la possibilité d’un résultat afin de savoir quand quitter un module primitif ou secondaire via la formulation « exit ».
- L’exploitation du Module Composé « msg() », où « msg() » peut être remplacé par la modification d’une Variable Primitive de Mémoire « Mn ».
3: Dans une Suite Logique (Parent ou Enfant), les Règles d’Applications Solitaire ne peuvent pas contenir de Priorité de Réaction, ni de Règle d’Application à l’intérieur de leur condition (cependant, les nodes composés « & » et « | » peuvent être employés). Elles peuvent contenir uniquement une coupure exit, ou un Module Quintiaire d’une Réaction Finale et/ou d’une Application Finale. Le module composé msg() peut remplacer une Réaction Finale.
4: Sauf pour les Règles d’Applications Solitaire, toute Règle d’Application dans une Suite Logique Parent, doit être à l’intérieur d’une Priorité de Réaction. Inversement, une Priorité de Réaction, excluant les Modules Primitifs Imbriqués, ne peut pas se trouver à l’intérieur d’une Règle d’Application.
5: Toute Règle d’Application, dans une Suite Logique Enfant, doit être à l’intérieur d’une Priorité de Réaction. Inversement, en excluant les Modules Primitifs Imbriqués, une Priorité de Réaction ne peut se trouver directement à l’intérieur d’une Règle d’Application. Une seule exception à cette règle, est la Règle d’Application Solitaire, pouvant contenir uniquement une coupure exit, un Module Quintiaire d’une Réaction Finale et/ou d’une Application Finale, et qui est possible dans une Suite Logique Enfant, uniquement lorsque nous comparons un argument à la valeur 0.
6: À l’extérieur d’un Système d’Origine ou d’une Proposition, les Règles d’Application doivent respecter une logique en lien avec la profondeur de calcul. Une Règle d’Application « RA » peut contenir d’autres Règles d’Application dans ses blocs « { } », formant une structure imbriquée. La profondeur d’une Règle d’Application est le nombre de Règle d’Application successivement imbriquées dans un chemin d’exécution, appelé branche. Une branche est un chemin allant d’une Règles d’Application « RA » jusqu’à la Règle d’Application la plus profonde. Par exemple :
RA(L > 10) // Profondeur : 1 + 0 = 1
{ // Profondeur de 0, ou si nous comptons depuis l’autre RA : 1.
RA(L < 50)
{ M[i] = j ;
}
SL.1() ;
}
Chaque Règle d’Application a une limite de profondeur égale à « 1 + d », où « d » est le nombre maximal de dimensions d’itération des variables dans sa condition (par exemple, L : 0 dimension ; P[i,i] : 2 dimensions). Lorsqu’un argument est utilisé, il faut regarder la ou les variables qu’il emmagasine afin de connaître le nombre de dimension d’itération qu’il représente.
Exemple :
RA(P[i,i] > L)
{ M[i] = 1 ;
}
// Limite de profondeur : 1 + 2 = 3.
Une Règle d’Application « RA » ne peut pas contenir une seule Règle d’Application dans son bloc, sauf s’il inclut une autre Règle d’Application ou un module tertiaire, quaternaire, ou quintiaire (par exemple, SL.1() ). Sinon, les conditions doivent être combinées avec « & », « | », ou « ! ».
Exemple Valide :
RA(L > 10) // Limite de Profondeur : 1+0 = 1
{ RA(L < 50)
{ M[i] = j ;
}
SL.1() ;
}
Exemple non valide :
RA(L > 10) // Limite de Profondeur : 1+0 = 1
{ RA(L < 50)
{ M[i] = j ;
}
}
// Doit être écrit « RA(L > 10)&(L < 50){M[i]=j;} », donc : Invalide.
Dans un Module Primitif, chaque Règle d’Application doit aussi respecter les limites de profondeur (1+d) provenant des Règles d’Application qui la précède. Une structure est valide si elle respecte les limites de profondeur et la contrainte syntaxique. Sinon, nous pouvons déduire qu’elle ne forme pas une géodésie logique, et donc, que la formule est fausse.
7: Sauf à l’intérieur d’une Proposition « PN() », le nombre maximum de Règles d’Application « RA » superposées (profondeur des RA imbriquées) est de « n+1 », où « n » est le nombre de Priorités de Réaction « PR » imbriquées contenant les Règles d’Application.
Une Priorité de Réaction imbriquée est une Priorité de Réaction directement contenue dans une autre Priorité de Réaction.
Exemple #1 :
PR(L,i) // Profondeur permise : 1+1=2
{ PR(L,j) // Cette Priorité de Réaction est dite imbriquée.
{ P[i,j]=1
}
M.i = 0
}
Exemple #2 :
// Cette Priorité de Réaction est dite imbriquée par l’axe j.
PR²(L,i,j)
{ P[i,j]=1
}
Dans une seule et unique Priorité de Réaction (n=1), la profondeur maximale des Règles d’Application est de « 1+1=2 ». Par exemple :
PR( P[a1,a1] , l ) // Profondeur permise : 1+1=2.
{ RA( P[ R[a1,l] , (L1+1) ] != L1² ) // Profondeur : 1.
{ RA( R[ R[a1,l] , (L1+1) ] = 0 ) // Profondeur : 2.
{ SL.1( R[a1,l] )
R[ R[a1,l] , (L1+1) ] = 1
}
RA( R[ R[a1,l] , (L1+1) ] != 2 ) // Profondeur : 2.
{ P[ a1 , (L1+1) ] += P[ R[a1,l] , R[a1,l] ] ;
}
}
}
Dans une Priorité de Réaction « PR » avec une Priorité de Réaction imbriquée (n=2), la profondeur maximale des Règles d’Application est « 2+1=3 ». Par exemple :
PR²(L,i,j) // Profondeur permise : 2+1=3.
{ RA( P[i,j] > 0 ) // Profondeur : 1.
{ RA( P[i,j] < L ) // Profondeur : 2.
{ R[i,(L+1)] = L² ;
RA( R[i,i] > 0 ) // Profondeur : 3.
{ SL.1(i) ;
}
}
AF() ;
}
}
Par conséquent, cette présente Règle de SCI justifie la 3e Règle de SCI sur les nodes composées : une Règle d’Application Solitaire (n=0) a une profondeur maximale de 1 (0+1=1), interdisant toute Règle d’Application imbriquée. Ses restrictions garantissent une conformité automatique.
Pour cette présente Règle de SCI, une structure est valide si la profondeur des Règles d’Application superposées ne dépasse pas « n+1 » et si les Règles d’Application Solitaires n’ont pas de Règle d’Application imbriquées. Une structure est fausse si la profondeur dépasse la limite, car cela voudrait dire que le calcul ne forme pas une géodésie logique.
8: Dans la résolution d’un problème, chaque node composé doit être unique et sans équivalence. Par exemple, une Règle d’Application « RA(arg1 OP arg2) » ne peut pas avoir les mêmes arguments « arg1 » et « arg2 » identique qu’une autre Règle d’Application. Il existe cependant une exception : Les Règles d’Application comportant uniquement des Variables Secondaires de Mémoire et/ou des variables de type argument peuvent ne pas être unique.
[2.18] Les Processus de la Défractalisation.
RAPPEL : La Formule de SCI est utiliser lorsque l’on souhaite résoudre un problème par résolution polynomiale pour les problèmes supérieur à la classe P. L’Équation Alternative et l’Équation de SCI sont utilisées lorsque l’on veut une équation au nombre d’opérateur invariable, peu importe les valeurs attribuées aux variables. Dans le cadre d’une géodésie logique, l’Équation Alternative est utilisée lorsqu’il y a des conditions sur les valeurs des variables utilisées dans le Système d’Origine. En d’autre terme, les Règles d’Application ne doivent pas se trouver à l’extérieur du Système d’Origine afin que la solution puisse être considérée comme une géodésie logique de la résolution du dit problème.
À partir d’une Formule de SCI, il nous est possible de déduire une Équation de SCI, en passant par un processus de défractalisation. La défractalisation consiste à effectuer au moins l’une des transformations suivantes :
1 : Diviser un problème irrésolu pour le résoudre séparément (Exemple : Fractalisation de la Mécanique de Calcul Irrésolu), dans le but d’en tirer une Formule de SCI, une Équation Alternative, ou une Équation de SCI.
2 : Retirer des Priorités de Réaction sans changer le résultat d’une équation. Cela permet de passer d’une Formule de SCI à une Équation de SCI ou à une Équation Alternative. C’est une défractalisation d’addition et/ou multiplicatrice : une résolution par Fractalisation de la Mécanique de Calcul Résolu.
3 : Retirer des Règles d’Applications dans le but de transformer une Formule de SCI ou une Équation Alternative en une Équation de SCI. C’est une défractalisation d’addition et/ou multiplicatrice : la Fractalisation de la mécanique de Calcul Résolu.
[2.19] Défractalisation : Une partie du processus de défractalisation reste irrésolu.
Il peut arriver qu’un problème une fois sous la forme d’une Formule de SCI ne puisse pas subir directement une défractalisation, en raison d’une variable inconnue tel une transformation manquante sur les Tables de SCI. La Conjecture de la Défractalisation Multiplicatrice stipule que pour toute suite multiplicatrice ou empirique, il existe une Équation de SCI ou une Équation Alternative équivalente. Cependant, pour être prouvé, il faut que la suite multiplicatrice « n! » ou la suite empirique qu’est la suite de Fibonacci soient défractalisés (éliminer tout les nodes composés).
Nous connaissons les processus de Défractalisation d’Addition, mais pas tout les processus de Défractalisation Multiplicatrice. Toutefois, parce que j’ai déjà résolu certaines suites multiplicatrice et éliminer des nombres irrationnelles dans la résolution de problèmes irrésolu (Par exemple, j’ai élminé le nombre π dans la résolution du problème du cercle de Guass), cela démontre que les Tables de SCI manquantes peuvent être résolu par déduction logique. Le problème n’est pas de savoir s’il est possible de trouver les Tables de SCI manquantes, mais comment les découvrir.
[2.20] Défractalisation : Les Formules de SCI aux Équations de SCI intriquées.
Dans d’autre cas, un problème peut être partiellement transformé en Équation de SCI ; nous parlons donc ici de Formule de SCI aux Équations de SCI Intriquées. Une Formule de SCI aux Équations de SCI Intriquées possède un ou plusieurs Module Tertiaire Intriqué, et est reconnaissable par au moins l’un des critères suivants :
A : Un signe visible d’un Module Tertiaire Intriqué est lorsqu’au moins un Module Quaternaire possède des valeurs isolées qui sont combinées aux variables de manière différente que celle définit dans leur Système d’Origine.
B : La Formule possède des Modules Quaternaire qui ne respecte pas un ensemble des logiques suivantes (et qui ne peut pas le respecter si nous tentons de déplacer les éléments de l’équation), excluant la fonction temporelle:
1: Var OP Var
2: Var OP Val
3: Var OP Var OP Var ...
4: Var OP Var OP Var ... OP Val
C : La Formule possède un Module Quaternaire qui a au moins deux fois la même variable : une dans sa mesure, et l’autre dans son calcul. Et lorsque la mesure et le calcul sont différent, c’est un signe qu’une ou plusieurs Priorité de Réaction et/ou une Règle d’Application a été retirée au profit d’une Équation Alternative ou une Équation de SCI.
D : L’exploitation des modules composés « min() » et « max() » avec la singularité s (nombre que nous expliquerons dans le prochain sous chapitre). La singularité s est souvent utilisée dans un Module Tertiaire Intriqué pour remplacer une Règle d’Application, et est utilisée en Mécanique de SCI pour définir la vitesse du temps (de notre point de vue) en unité.
Utile : Une Formule de SCI qui possède au moins un Node Composé à l’extérieur de son/ses Application Finale ou de sa Suite Logique Parent (selon le cas) est un signe que la formule n’est pas totalement défractalisée.
Il est possible d’obtenir une Équation de SCI en simplifiant des structures déjà présente, ou en passent par une Défractalisation d’Addition et/ou une Défractalision Multiplicatrice, c’est-à-dire déduire les valeurs et les variables de l’information manquante, en convertissant les nodes composés en structure composée uniquement de nodes primitifs.
Souvent, il est nécessaire de commencer par effectuer une Fractalisation de la mécanique de Calcul afin d’obtenir une nouvelle Formule de SCI (une résolution polynomiale) de l’équation avant d’effectuer une Défractalisation d’Addition et/ou une Défractalisation Multiplicatrice. Le processus peut être répété plusieurs fois jusqu’à ce que n’ayons plus qu’une seule Équation de SCI.
La Fractalisation de la mécanique de Calcul consiste à effectuer l’une des transformations de problème suivant :
1: Séparer, par Fractalisation de la Mécanique de Calcul Irrésolu, les éléments d’un problème afin de les résoudre indépendamment.
Par exemple : il y a 100 bureaux d’étudiant et 400 étudiants dans 4 équipes différentes. Nous devons choisir 100 étudiants de deux équipes pour remplir les places. Lorsque nous choisissons un étudiant, un ou plusieurs autres étudiants ne peuvent pas avoir de place. Pour résoudre ce problème, nous effectuons d’un coté le problème des 400 étudiants sans les équipes pour avoir une partie du problème de résolu, et ensuite nous pouvons déduire une formule qui permet de déduire, par la valeur des incompatibilités entre les étudiants (en tenant en compte les différentes possibilités d’équipe), quel seront les 2 équipes qui ne seront pas choisies.
2: Effectuer une Fractalisation de la mécanique de Calcul Résolu d’une Formule de SCI, dans le but d’obtenir une Équation de SCI, ou une Équation Alternative. Ce processus demande souvent de passer par une Formule de SCI aux Équations de SCI Intriquée. Nous pouvons aussi transformer une Équation Alternative en Équation de SCI. Un autre objectif peut être d’utilisé une partie d’une formule pour résoudre partiellement un autre problème.
[2.21] Les tables de SCI.
Nous pourrions visualiser les Tables de SCI comme un losange, auquel chaque extrémité représente un opérateur ou un node composé ( + et -, * et /, RA, et PR ). Et toute variante existentielle de suite logique sont placé dans ce losange. Les Tables de SCI on une double utilité :
1 : Identifier les SCI pouvant être invisible dans un énoncé.
2 : Défractaliser une Formule de SCI afin de la simplifier, afin d’obtenir une Équation Alternative, ou une Équation de SCI.
Les suites d’addition :
Lorsqu’il y a une suite logique d’addition jusqu’à L ( ex : 1+2+3+4+5+...+L ), Nous disons qu’il y a une suite d’addition. Cette suite d’addition peut être exprimé sous la forme d’une Formule de SCI :
M = 0 ; // Valeur initiale de M.
PR(L,i){ M += i ; } // Suite d’addition.
Cette suite d’addition possède plus d’une façon d’être convertie en Équation de SCI. Une version connu est « M = L*(L+1)/2 ».
Mais en comparent les résultats, nous pouvons trouver une autre Équation de SCI :
Valeur de L Résultat de M Corrélation logique entre L et M
L=1 M=1 M=1*1
L=2 M=3 M=1*3
L=3 M=6 M=2*3
L=4 M=10 M=2*5
L=5 M=15 M=3*5
L=6 M=21 M=3*7
...
Nous constatons sans l’ombre d’un doute, si nous séparons la suite d’addition en deux multiplicateurs, qu’il y a un schéma logique. D’un coter, nous avons la mesure (1,1,2,2,3,3...), et d’un autre le calcul (1,3,3,5,5,7...). Nous pourrions donc exprimer ces deux séquences en une Équation de SCI :
M = rnd( (L+1)/2 ) * ( ( rnd( L/2 ) * 2 ) + 1 )
Nous pouvons vérifier si « L*(L+1)/2 » est l’Équation de SCI sans les modules composés du résultat, en passant par une Fractalisation d’Équation de SCI, puis par un processus de défractalisation.
Fractalisation d’Équation de SCI : Dans l’équation, il y a deux fois "L". Donc, nous savons que L est la Priorité de Réaction « PR(L,i){/*quelque chose*/} » , donc :
PR(L,i)
{ M += (( rnd(i-1) +1) / rnd(2) ) * 2
// La multiplication par 2 est en raison qu’il y avait deux variables L qui était multiplier entre eux.
}
Comme que i sera toujours un entier, les modules composés « rnd() » restant peuvent être retirés :
PR(L,i)
{ M += (( (i-1) +1) / 2 ) * 2
}
Simplifions maintenant les évidences restantes pour une Formule de SCI complète :
PR(L,i)
{ M += i
}
Maintenant, défractalisons le tout :
/* Nous voyons 2 fois i, formant un lien direct entre l’incrémentation et l’équation en elle-même.
Dans une défractalisation pour l’obtention d’une Équation de SCI, sauf pour les exceptions
dans une Équation de SCI, il n’y a pas de Priorité de Réaction, et donc pas de i : donc
nous utilisons L pour représenter i.
*/
M = L*L
// Le calcul étant en escalier sur une grille, nous devons en retirer la moitié de la valeur.
M = L*L/2
// Ensuite, Il y a une seule PR, et donc une seule variable secondaire de mémoire :
M = L^1 * L / 2^1
// N’oublions pas que le centre de l’escalier est plein, donc nous l’intégrons au calcul :
M = L^1 * (L+1) / 2^1
/* Il ne reste plus qu’à simplifier l’équation, en retirant les valeurs isolées qui n’ont aucun impact et qui n’affecte pas la
structure initiale de la formule de SCI :
*/ M = L * (L+1) / 2
// Nous avons maintenant la preuve que « M = M+(L*(L+1)/2) » est le résultat défractalisé de « PR(L,i){M+=i;} ».
La suite de multiplication :
Une suite multiplicatrice est une suite logique de valeur multiplié entre elle (ex : 1*2*3*4*...*n). Les suites multiplicatrices comprennent également les suites empiriques d’addition dont les valeurs ajoutées pour l’obtention d’un résultat ne dépend pas uniquement de Variable Secondaire de Mémoire, mais de l’évolution de sa propre Variable Primitive de Mémoire (ex : la suite de Fibonacci). Voici quelques exemples exprimés dans une Formules de SCI :
Exemple #1 : la suite n!
M=1 ;
PR(L,i){ M *= i ; }
// OU : M = sm(1,L,1)
Exemple #2 : La suite de fibonacci
M.1 = 0
M.2 = 1 ;
PR( (L-1),i )
{ M.i = M.[i+1]
M.[i+1] += M.i ;
}
[2.22] La Singularité « s » dans les Tables de SCI.
Avant de poursuivre avec les Tables de SCI, il est important de connaître ce qu’est la singularité s. La singularité s est un nombre infinitésimal désignant la singularité en Mécanique de SCI, correspondant à environ « 1/∞ ». Ce nombre est tellement petit qu’il n’a que peu d’impact visible, mais est très utile lorsque l’on souhaite effectuer d’une défractalisation d’addition sur des nodes composés.
Exemples de l’impact de la singularité s :
10 - s = 9,999...
10 + s = 10,0000...01
rnd(10 - s) = 9
10 / s = ∞ (ou ¬(5/6) en Mécanique de SCI)
10 * s = 10 * s (non combinable, sauf en Mécanique de SCI)
Dans les mathématiques de SCI, la singularité s trouve sont utilité lorsque l’on ne veut pas considérer les décimales d’un nombre, tout en considérant un nombre entier comme valant une unité de moins de ce qu’il représente. Par exemple, « rnd( argument - s ) » permet de dire :
- Si l’argument est un entier, retire 1.
- Si l’argument n’est pas un nombre entier, retire uniquement la partie décimale.
Grâce à cette logique, il nous est possible d’effectuer une défractalisation d’addition sur les nodes composés.
[2.23] Tables de SCI : Liste de Défractalisation d’addition.
Il est humainement impossible d’écrire l’entièreté des tables de SCI sur les défractalisation d’addition, car il en existe une infinité. Cependant, en défractalisant une partie de ces tables, nous pouvons déduire facilement le reste.
1 : Défractalisation d’addition sur les Priorités de Réaction.
Variante #1 :
M = a1 ;
PR(L,i){ M += i ; }
Défractalisation :
M = a1 + ( L*(L+1)/2 )
Variante #2 :
M = a1 ;
PR²(L,i,j){ M += j ; }
Défractalisation :
M = a1 + ( L²*(L+1)/2² )
Variante #3 :
M = a1 ;
PR(L,i){ M += M + i ; }
Défractalisation :
M = min(max(L,1) ,0) * ( (a1*2^L) + 2^(L+1) - (L-2) ) + a1
2 : Défractalisation d’addition sur les Règles d’Application sans égalité :
Variante #1 :
M = a1 ;
RA(L>a2){ M += a3 ; }
Défractalisation :
M = min(max(rnd(L - a2 + 1 - s),1),0) * a3 + a1
Variante #2 :
M = a1 ;
RA(L>a2){ M += a3 ; }
! { M -= a3 ; }
Défractalisation :
M = ( 2 * min(max(rnd(L - a2 + 1 - s),1),0) - 1 ) * a3 + a1
Variante #3 :
M = a1 ;
RA(L>a2){ M += a3 ; }
! { M += a4 ; }
Défractalisation :
M = min(max(rnd(L - a2 + 1 - s), 1), 0) * (a3 - a4) + a4 + a1
3 : Défractalisation d’addition sur de multiple Règles d’Application :
Variante #1 :
M = a1 ;
RA(L1>a2)
&(L2>a3){ M += a4 ; }
Défractalisation :
M = min(max(rnd(L1 - a2 + 1 - s),1),0)
* min(max(rnd(L2 - a3 + 1 - s),1),0)
* a4 + a1
Variante #2 :
M = a1 ;
RA(L1>a2)
|(L2>a3){ M += a4 ; }
Défractalisation :
M = max( min( max( rnd(L1 - a2 + 1 - s) , 1 ) , 0 )
+ min( max( rnd(L2 - a3 + 1 - s) , 1 ) , 0 )
,1) * a4 + a1
Variante #3 :
M = a1 ;
RA(L1>a2)
&(L2>a3){ M += a4 ; }
!{ M += a5 ; }
Défractalisation :
M = ( min(max(rnd(L1 - a2 + 1 - s),1),0)
* min(max(rnd(L2 - a3 + 1 - s),1),0)
* (a4 - a5)
) + a5 + a1
Variante #4 :
M = a1 ;
RA(L1>a2)
|(L2>a3){ M += a4 ; }
!{ M += a5 ; }
Défractalisation :
M = max( min( max( rnd(L1 - a2 + 1 - s), 1 ), 0 )
+ min( max( rnd(L2 - a3 + 1 - s), 1 ), 0 ),
1 ) * (a4 - a5) + a5 + a1
4 : Défractalisation d’addition sur les Règles d’Application avec égalité :
Variante #1 :
M = a1 ;
RA(L=a2){ M += a3 ; }
Défractalisation :
M = min( max( rnd(L - a2 + 1), 1 ), 0 )
* min( max( rnd(a2 - L + 1), 1 ), 0 )
* a3 + a1
Variante #2 :
M = a1 ;
RA(L!=a2){ M += a3 ; }
Défractalisation :
M = 1 - ( min( max( rnd(L - a2 + 1), 1 ), 0 )
* min( max( rnd(a2 - L + 1), 1 ), 0 )
) * a3 + a1
5 : Défractalisation d’addition sur des combinaisons de PR et de RA :
Variante #1 :
M = a1 ;
PR(L,i){ RA(L>a2){ M += i ; } }
Défractalisation :
M = ( min( max( rnd(L - a2 + 1 - s) , 1 ) , 0 ) * (L*(L+1)/2)) + a1
Variante #2 :
M = a1 ;
PR(L,i){ RA(i>a2){ M += i ; } }
Défractalisation :
M = (L*(L+1)/2) - (a2*(a2+1)/2) + a1
Variante #3 :
M = a1 ;
PR(L,i){ RA(i>a2){ M += M + i ; } }
Défractalisation :
M = min(
min(max(rnd(L-a2+1-s),1),0)
* (L*(L+1)/2)
- (a2*(a2+1)/2)
, 0 ) + a1